Le Front national avait créé la surprise en mars 2014 en frôlant à Gardanne (Provence), l’une des pires villes rouges de la région, les 20 % au premier tour. Avec 15,7 % au second, son candidat Clément Lepoittevin avait même conservé l’essentiel de son électorat du premier tour (19,3 %). L’élection avait été annulée par le Conseil d’État, et une nouvelle élection a été organisée.
Elle a vu l’effondrement du parti mariniste, qui chute au second tour à 8,6 % (-7,1), après n’avoir totalisé au premier tour que 12,3 % (-6).
Le candidat de l’extrême gauche avait réuni dès le premier tour 41,9 % alors qu’un an plus tôt, il n’avait recueilli que 36,1 %. Son principal concurrent, Jean-Brice Garella, avait totalisé 32 % des voix.
L’échec mariniste ouvre la voie à une nouvelle municipalité communiste, pro-invasion et antifrançaise. Le maire sortant Roger Meï, 80 ans, qui dirige la ville depuis 1977, devrait donc être reconduit. Au second tour, il a obtenu 49,35 % des suffrages, loin devant son opposant Jean-Brice Garella soutenu par une coalition de centristes et de partis de gauche, à 42,05 %.
Le reflux mariniste a été l’occasion d’une explosion de joie à gauche. Toute honte bue, le corrompu Jean-Christophe Cambadélis, à la tête d’un parti rejeté par 80 % de la population et dont les cadres pillent et détruisent la France, a ainsi diffusé un message proclamant :
« La gauche rassemblée gagne #Gardanne et étrille le Front national ! La leçon est là ».
Il est à noter qu’aucune inéligibilité n’avait été prononcée dans cette affaire alors que la liste PC-PS avait, en mars 2014, proposé de faire élire Jean-Marc La Piana, directeur d’un établissement de soins palliatifs, alors que ce dernier ne réside même pas dans la commune et n’y paye aucun impôt. Rien de surprenant dans un pays où les pédocriminels sont ministres et où les pires corrompus dirigent les partis de gouvernement.
Pitoyable vomissures de la propagande américaine et fasciste, pire que la propagande nazie, vraiment immonde.