Plusieurs centaines d’Allemands se sont spontanément réunis à Heidenau (Saxe) mercredi à l’annonce de la venue de la chancelière du gouvernement d’occupation Angela Merkel. Cette dernière qui n’a jamais réagi après les nombreux crimes commis par les occupants contre les Allemands ces derniers mois, est venue soutenir un projet particulièrement honteux des autorités : implanter un centre pour colons au cœur d’une petite ville blanche et appauvrie par cinquante ans de communisme et vingt de libéralisme, mais qui avait jusque-là conservé son identité.
La dirigeante mondialiste, issue des rangs du Parti communiste – elle était cadre du mouvement de jeunesse des assassins communistes, responsable de « l’agit-prop » –, a été huée par le peuple allemand révolté, dans une ville où les violences policières se sont multipliées ces derniers jours contre les nationalistes qui manifestaient contre l’implantation de centre.
« Traîtresse »,
« Nous sommes le peuple »,
« Nous sommes la meute »,
ont scandé les manifestants, cette dernière formule faisant référence à une insulte proférée par le politicien social-démocrate Sigmar Gabriel, vice-chancelier, qui avait qualifié les Allemands refusant la colonisation de leur terre de « meute ».
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=8ztuGDtUs1Q[/youtube]Les Allemands ont hué également les nombreux journalistes de la « Lügenpresse » [presse mensongère] présents, qui, comme leurs homologues en France, même quand ils sont attaqués par les ‘migrants’, dépouillés, voire violés – comme ce fut le cas à Calais en 2008, les médiats ayant alors même refusé de diffuser le portrait-robot du violeur de leur jeune collègue1 –, continuent à faire la promotion de l’invasion.
Sans provoquer la moindre réaction des journalistes si soucieux de leur « liberté » habituellement, Angela Merkel a refusé d’être suivie par la presse lors de son exhibition devant les envahisseurs.
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1 Le criminel pakistanais n’avait été arrêté que plusieurs mois après les faits après avoir agressé un policier. Ce migrant-chance pour l’Europe, Sher Hassan Jabar Khel, n’a écopé en 2010 qu’à huit ans de prison pour avoir violé et battu une jeune femme. Il est vraisemblablement en liberté actuellement.