Une jeune femme de 19 ans a porté plainte dans un commissariat de Versailles dimanche matin. Elle affirme avoir été agressée par trois individus et violée par au moins l’un d’entre eux. Elle rentrait tard dans la nuit de samedi à dimanche dans un « train de banlieue », reliant le quartier de La Défense à Versailles lorsque les faits se sont produits.
Les trois violeurs présumés auraient profité de l’assoupissement de leur victime pour se rapprocher d’elle puis lui faire des avances, avant de l’attaquer. Après avoir été frappée de plusieurs coups de poing, elle aurait donc ensuite été violée. Ses agresseurs auraient pris la fuite à la gare de Chaville.
Les crimes de ce type se sont multiplié ces dernières années, essentiellement sinon exclusivement par le fait de l’invasion, les crimes étant toujours ou presque le fait de ‘réfugiés’, de ‘migrants’ et d’autres envahisseurs de la 1re, 2e, 3e ou 4e génération.
Le 25 novembre 2007, Anne-Lorraine Schmitt a été assassinée par un criminel étranger qui avait tenté de la violer dans le RER D. En 2009, une jeune fille de 18 ans a été violée dans un train par huit criminels entre Poissy et Les Mureaux.
En mars 2014, une jeune Française a été victime d’un viol raciste par plusieurs criminels étrangers à la sortie de la gare à Évry. À Évry encore, la ville de Manuel Valls, toujours à la sortie de la gare, une autre jeune fille a été violée dans la nuit du 30 juin au premier juillet dernier. Cette année d’autres crimes similaires se sont produits. En région parisienne encore, une jeune femme a été violée dans la nuit du 4 au 5 février sur une ligne du RER entre Paris et Melun.
Ni les groupuscules d’extrême gauche, ni les associations féministes, ni les autorités si soucieuses quand il s’agit de manipuler l’opinion du « droit des femmes » ou « d’humanisme », n’ont ni réagi, ni moins encore annoncé de mesures pour lutter contre ce fléau.