Le procès a à peine commencé que les médiats ont déjà réussi à nier l’un des éléments déterminants de ce procès : le racisme antiblanc. Les rares médiats à évoquer le passage devant la justice de l’un des quatre criminels étrangers, n’ont pas rappelé non plus que le crime s’était déroulé à Évry, la ville dirigée par Manuel Valls, qui accédait juste à ce moment-là au poste de premier ministre. Il n’avait pas eu le moindre mot pour la victime. Le gouvernement n’avait pas diffusé le moindre communiqué pour condamner l’ignoble acte raciste.
Ce samedi 30 mars 2014, une jeune fille sort de la gare RER d’Évry, vers une heure du matin. Elle est rapidement harcelée par quatre étrangers, armés d’un tournevis et d’un brise-vitre. Ils l’agressent, la volent avant de la violer, de la torturer et de la jeter dans un parc. Avant de l’abandonner, ils la menacent de mort si elle ose parler.
Durant leurs crimes, les criminels musulmans, trois frères turcs âgés de 13, 15 et 17 ans et un autre subhumain, un Marocain, âgé de 13 ans, font bien comprendre à la victime qu’ils agissent par racisme, par haine de la France et des Français. En garde à vue, les quatre criminels avaient reconnu l’avoir attaquée uniquement parce qu’elle est Française, car « les Français sont tous des fils de p*** ».
Physiquement blessée, souffrant notamment d’une fracture du nez et de nombreux coups, terriblement traumatisée, la jeune Française n’est retrouvée que le lendemain, après plus de deux heures de tortures, alors qu’elle erre dans les rues.
Les trois mineurs ont été jugés en avril. Ils n’ont écopé que de cinq à sept ans de prison. Ils seront donc libres au plus tard dans trois ans. Aucune expulsion définitive du territoire n’a été prononcée contre les criminels et leurs familles.
En ce mois d’octobre, le plus âgé est jugé seul, pour viols accompagnés ou suivis d’actes de torture ou de barbarie en état de récidive légale. Il est considéré comme le chef de la meute des quatre animaux.
« La bête s’est réveillée en moi »,
affirme le criminel turc, sans doute bien conseillé, sachant que les « fous », dans la justice criminelle de Christiane Taubira, sont encore moins condamnés que les autres. Concernant l’ultralaxisme des juges de l’antifrançaise, il en connaît déjà beaucoup : au début des années 2010, il n’a écopé que de quatre ans de prison pour avoir violé le fils d’un militaire français. Les juges rouges n’avaient pas attendu longtemps pour le libérer : après avoir purgé moins de la moitié de sa peine, il était libre et, quelques mois plus tard, il récidivait à Évry. Si le nom des politiciens coupables de crime en récidive est connu, ceux des juges criminels n’ont pas été diffusés.
Un an après ces faits, une autre jeune femme avait été violée par trois criminels dans le même parc, dans la même ville d’Évry, ne conduisant qu’au même silence de Manuel Valls.
Voir sur le sujet :
« Retour sur l’ignoble crime raciste anti-blanc à Évry » ;
« Nouvelle affaire de viol en réunion dans un parc d’Évry » ;
Remettons vite la guillotine
Pour eu pas de pitier