Un (petit) débat agite la Norvège. Parmi les innombrables envahisseurs que le gouvernement a laissé entrer dans le pays et qu’il loge, soigne et nourrit, figure un couple qui attend son deuxième enfant. Le petit problème pour les autorités est que la très jeune mère de famille n’a que quatorze ans ; elle a donc été mariée au plus tard alors qu’elle avait douze ans, leur autre fils ayant 18 mois. Le mari est âgé lui de 23 ans. Depuis leur invasion de l’Europe, ils vivent dans le comté du Finnmark (Nord-Norge).
Or, selon la loi norvégienne, il s’agit clairement ici de pédocriminalité. Pourtant, aucune action n’a été entreprise : le pédophile n’a pas été arrêté et peut toujours faire son « devoir conjugal », avec la complicité des autorités.
Unni Wikan, une anthropologue interrogée par les médiats a appelé les autorités à accepter ces enfants mariés de force, car il s’agit d’une partie de la culture des « demandeurs d’asile ». Elle demande à ce que le couple soit au contraire pleinement soutenu.
« La Norvège à un long chemin à faire pour accepter que des filles réfugiées mineures sont mariées et ont des enfants »,
a-t-elle précisé.
Ce n’est pas la première fois que cette « chercheuse » défend l’invasion et les crimes sexuels.
« Les femmes norvégiennes doivent prendre leur part de responsabilité dans ces viols »,
avait-elle déclaré alors que les statistiques officielles révélaient un fort accroissement des crimes sexuels dans le pays, lié à l’invasion.
« Les Norvégiennes doivent comprendre que nous vivons dans une société multiculturelle et qu’elles doivent s’adapter à cela »,
avait-elle conclu.