Un envahisseur musulman a tenté d’égorger un usager du métro londonien samedi soir vers 19 heures. L’attaque s’est produite à la station Leytonstone, dans le nord-est de la capitale anglaise. Après avoir blessé grièvement sa première victime – il a ciblé un « Blanc » selon un employé musulman du métro – à la gorge, le terroriste a attaqué deux autres personnes, les touchant plus légèrement.
« C’est pour la Syrie »,
a crié le terroriste, en référence aux bombardements menés depuis jeudi par la Grande-Bretagne contre l’État islamique (ÉI, ed-dawla el-Islāmiyya) en Syrie. Le poignardeur est vraisemblablement un partisan du groupe terroriste, qui attendait un prétexte pour passer à l’action.
« C’est ce qui arrive quand vous ***** la Syrie. Tout votre sang sera répandu »,
a-t-il ajouté.
Le même type de revendication a été utilisé par les immigrés qui ont tué 130 personnes à Paris et Saint-Denis le mois dernier, rappelant la double écrasante responsabilité des gouvernants en Europe par leur politique étrangère, et surtout par leur politique favorisant depuis des décennies l’invasion de l’Europe, le libéralisme, la destruction de la culture européenne et des liens sociaux.
Les policiers ont maîtrisé l’étranger, âgé de 29 ans, en utilisant un pistolet à impulsion électrique.
Le probable futur maire de la ville a brièvement pris la parole. Il s’agit d’un Pakistanais à papiers britanniques, musulman, dénommé Sadiq Khan.
Ce crime intervient quelques jours après l’attaque menée par deux Pakistanais à San Bernardino, aux États-Unis, trois semaines après les attaques de Paris, et deux ans après le meurtre de Lee Rigby en Grande-Bretagne, ignoblement massacré par deux tueurs africains en pleine rue.
« Nous ne nous engageons pas à la légère. Nous sommes conscients que nous demandons à nos courageuses forces armées de risquer leur propre sécurité pour maintenir la nôtre. Cette décision [de frapper l’ÉI en Syrie] rendra les rues de Grande-Bretagne plus sûre en portant le combat là où [l’ÉI] prépare des attaques contre notre peuple et nos alliés»,
avait déclaré quelques heures plus tôt le ministre de la Défense britannique Michael Fallon.