Minoritaire dans le pays depuis toujours, la gauche sectaire, inhumaine et totalitaire que représentent si bien Manuel Valls, Claude Bartolone et Christiane Taubira, n’en a pas moins réussi à imposer depuis longtemps ses codes idéologiques à l’université, à la télévision et jusque dans la loi. Les fervents partisans de la « liberté » ont multiplié, à un rythme s’accélérant, les lois liberticides. Les sujets tabous s’additionnent : il n’est plus question de parler de race sans risquer la condamnation, ni de critiquer un préfet, pas plus que d’évoquer la prétendue “Shoah”. Il est interdit de dénoncer l’invasion de son pays, tout comme il est prohibé de dénoncer les comportements déviants et asociaux responsables d’une autre sorte de destruction de la nation.
Ces derniers jours, cinq procès politiques se sont tenus contre des représentants politiques aussi divers que le nationaliste Yvan Benedetti, le polémiste juif Éric Zemmour, la démocrate-chrétienne Roselyne Bachelot, la présidente du Front national Marine Le Pen, et Gilles Bourdouleix, maire d’une commune de l’ouest et centriste. Tous les poursuivis sont « de droite », à la droite du Parti socialiste (PS) qui décrète ce qui est le bien et le mal, ce qu’un Français peut dire, ce qu’un dirigeant politique a le droit de dire.
Certains de ces procès sont particulièrement iniques parce qu’ils touchent des personnalités ayant toujours dénoncé les lois liberticides, qu’elles répriment le « racisme », « l’antisémitisme », « l’homophobie » ou la « négation » de la prétendue “Shoah”. C’est le cas du directeur de Jeune Nation Yvan Benedetti.
D’autres au contraire se sont engagés dans une voie de normalisation acceptant de se soumettre aux forces ennemies. C’est le cas de Marine Le Pen qui a ainsi expulsé de son parti des centaines de nationalistes et de patriotes « coupables » d’avoir réclamé l’étude libre de l’histoire, dénoncé avec trop de véhémence – selon elle et les groupes d’extrême gauche et les journalistes auxquels elle obéit – l’occupation de notre terre, quand ils n’étaient tout simplement pas d’accord avec certains abandons et reniements.
Le résultat est le même : les procès s’abattent indifféremment sur un maire excédé par les crimes et délits d’un gang d’étrangers, sur un polémiste dénonçant l’islamisme, sur un chef nationaliste dénonçant un préfet et ses maîtres.
Le dernier en date s’est terminé par la condamnation de l’ancienne présidente du Parti chrétien-démocrate. Christine Boutin a écopé de 5 000 euros d’amende, plus 4 000 euros à payer aux associations, pour provocation publique à la haine ou à la violence contre les déviants sexuels, une peine encore plus lourde que les réquisitions.
Le « crime » de Christine Boutin, c’est d’avoir qualifié la pédérastie « d’abomination ».
« L’homosexualité est une abomination. Mais pas la personne. Le péché n’est jamais acceptable, mais le pécheur est toujours pardonné »,
avait déclaré Christine Boutin.
« Mon opinion s’inscrit dans la tradition chrétienne. Mais je suis une femme directe, j’essaye d’être en accord avec mes convictions profondes mais cela ne veut pas dire que je condamne les personnes homosexuelles »
avait précisé ensuite l’accusée.
Cela n’a pas empêché le procureur de leur République d’affirmer : « Ce que l’on entend [sic] dans vos propos, c’est que les homosexuels sont une abomination » et les juges rouges de très lourdement condamner l’ancienne ministre.
« Votre décision aura des conséquences énormes sur la liberté d’expression. Si vous suivez les réquisitions du procureur, alors il faut saisir la Bible! »
avait lancé son avocat. Il serait étonnant que leur République, qui veut interdire les crèches, mais fait naître l’islam terroriste et soutient les groupes terroristes juifs, ne l’envisage pas déjà.