Maternité de la B.V.M.
Sommaire :
Actualité nationaliste Europe
- Marche des nationalistes Bulgares contre les envahisseurs
France
- Mehdi Goncalves et Jawad Arudi, prison ferme pour les agresseurs de pompiers à Chaumont
- Envahisseur dealer, faux-mineur isolé, il aurait coûté 280.000 € au département
- Racisme anti-blanc à La Réunion
- B fauche une jeune femme
- L’Islamiste radical Farouk Ben Abbes assigné à résidence perçoit le RSA
- Une voiture conduite par une femme en foulard enfonce la grille d’un lycée
- Un faux anesthésiste réanimateur Algérien a exercé dans plusieurs hôpitaux
- La soumission de commerçant au halal
- La Ligue-du-Sud remporte le duel face au FN
- Très léger rabotage des privilèges des anciens présidents
- Quand le juif Polanski menace la libanaise Salamé
- Air France : menace terroriste après d’inquiétants incidents passés sous silence
Etranger
Europe
- Kosovo : troubles autour de la frontière avec le Monténégro
- Royaume-Uni : 400 jihadistes de l’État Islamique de retour et pas inquiétés
- Espagne : viol d’une jeune fille devant son ami par des envahisseurs sud-américains
Monde
- Yémen : risques d’extension du conflit
Vidéo
- Une volonté nous appelle
Nouveauté littéraire
- Carnet de campagne d’un agent de liaison : Russie hiver 1941-1942 – Caporal Charles Larfoux
Ephéméride nationaliste
- 10 octobre 1945 : assassinat de Joseph Darnand
- 10 octobre 2006 : mort de Jean Ferré
- 11 octobre 1911 : naissance de Serge Krotoff
- 11 octobre 1945 : assassinat Jean Hérold-Paquis
Agenda
- Bruxelles : Concert de Docteur Merlin – 15 octobre 2016
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Actualité nationaliste Europe
Marche des nationalistes Bulgares contre les envahisseurs
Vendredi soir, des centaines de nationalistes bulgares ont organisé une marche contre l’invasion de leurs pays par les « réfugiés » étrangers et pour la fermeture des frontières.
Sur leur grande bannière était inscrit en cyrillique « Nos ancêtres ont rempli leur devoir maintenant c’est à notre tour ».
France
Mehdi Goncalves et Jawad Arudi, prison ferme pour les agresseurs de pompiers à Chaumont
Jawad Arudi comparaissait, jeudi, au tribunal de Beauvais, jugé en comparution immédiate pour avoir insulté et menacé des sapeurs-pompiers, à Chaumont-en-Vexin, un village situé au sud de Beauvais (Oise). Et il n’est pas seul du côté des prévenus. Mehdi Goncalves, 23 ans, qui se trouvait avec lui au moment des faits, se voit non seulement reprocher les outrages et les menaces, mais aussi d’avoir frappé un de ses sauveteurs.
Le 2 octobre donc, les pompiers interviennent pour une voiture accidentée, moitié dans le fossé, moitié sur la chaussée. À l’intérieur, deux jeunes hommes en train de dormir. L’un d‘eux présente des blessures. Les auditions révéleront qu’il s’agit des séquelles d’une bagarre en boîte de nuit, dont les deux acolytes reviennent. Ils se sont arrêtés sur la route, après une crevaison. Une jeune fille conduisait, elle est repartie dans une autre voiture.
Un des six pompiers dépêchés sur l’opération frappe au carreau. Le passager finit par émerger du véhicule, visiblement alcoolisé. Il refuse d’être pris en charge. Les insultes fusent : « Vieux fils de pute, nique ta mère… »
Le deuxième prévenu s’en mêle et frappe l’un des pompiers. Pour le pompier, l’affaire se solde par une plaie ouverte derrière l’oreille et six jours d’incapacité totale de travail (ITT).
« Les pompiers ne sont pas tombés sur des enfants de chœur », enchaîne l’avocat des six pompiers, rappelant les casiers judiciaires déjà chargés des deux prévenus (recel, port d’armes, violences aggravées…). L’un et l’autre sont d’ailleurs suivis par les services de la justice.
Le tribunal a condamné Mehdi Goncalves à six mois ferme et Jawad Arudi à quatre mois ferme. Il n’a pas prononcé de mandat de dépôt à l’issue de l’audience, laissant ainsi la porte ouverte à un aménagement des peines.
Envahisseur dealer, faux-mineur isolé, il aurait coûté 280.000 € au département
En deux ans, le « jeune » aurait coûté quelque 280 000 € au Département.
Au départ de cette affaire, une « banale » interpellation menée par un équipage de la brigade anticriminalité, lundi 3 octobre vers 17 h, dans le square Planchon, aux portes de la gare Saint-Roch. Lorsque les policiers appréhendent deux jeunes garçons : l’un âgé de 20 ans, l’autre de 16 se disant mineur isolé. Sur le premier, les fonctionnaires mettent au jour deux grammes de cocaïne ; sur le second, dix grammes de résine.
Mais à peine ramené au commissariat, l’un pique une véritable crise de nerfs. Obligeant l’intervention d’un psychiatre qui ordonne une mesure d’hospitalisation d’office. L’autre indique pour sa part habiter dans une résidence hôtelière de l’avenue du Pont-Trinquat.
Depuis plusieurs semaines maintenant, les policiers interpellent régulièrement des mineurs isolés mis en cause dans des délits (des vols, la plupart du temps). Une recrudescence qui inquiète au commissariat central. Preuve encore avec cet ado de 16 ans lui aussi, arrêté mardi 4 octobre vers 11 h 50. Lorsqu’il a arraché son collier à une femme Grand-rue Jean-Moulin. Aidée d’un témoin, la victime a pu rattraper le voleur présumé, rue Caizergues, et le maintenir sur place jusqu’à l’arrivée de la police, alertée entre-temps.
Lorsque les enquêteurs s’y rendent, surprise : ce sont deux autres adolescents âgés de 16 ans, également mineurs isolés, qui leur ouvrent. Dans le logement, trente-sept autres grammes de résine, des téléphones, ordinateurs et chaînes de cou (cassées) volés sont découverts. Ainsi qu’un passeport tunisien au nom du prétendu mineur placé en garde à vue.
Problème : le document indique qu’il est en réalité âgé de 22 ans. Acculé, l’intéressé va finir par avouer. Et raconter être pris en charge par le conseil départemental depuis deux ans, qu’il vit en réalité chez sa copine et va se marier car étant en situation irrégulière.
Convoquée à l’hôtel de police, ladite petite amie a, pour sa part, refusé de s’expliquer. Elle s’est bornée à confirmer ce projet d’union. Elle a alors été placée en garde à vue à son tour pour aide au séjour irrégulier. Sachant qu’en deux ans, le jeune homme aurait coûté quelque 280 000 € au Département.
Racisme anti-blanc à La Réunion
La nomination de Virginie Chaillou-Atrous a été suspendue par le tribunal administratif. L’enseignante en histoire de l’esclavage se dit victime d’une cabale en raison de sa provenance : Nantes, qui fut le premier port négrier.
En 2015, l’université de la Réunion mettait au concours un emploi de maître de conférence « Histoire de l’esclavage, de l’engagisme et de l’économie des colonies dans les îles du Sud-Ouest de l’océan indien au XVIIIe et XIXe siècles. » Un poste taillé sur mesure pour l’enseignante, qui en a fait le thème de sa thèse. Elle postule. Mais le concours est annulé. Un an après, en 2016, le concours est proposé à nouveau. Nouvelle candidature et cette fois-ci, elle est prise.
Mais le lobbying relayé par les médias locaux se met en marche. Certaines associations, comme le Conseil des Français d’outre-mer, refusent d’admettre cette nomination. Des enseignants et militants indépendantistes –et pro negre- estimant que la Française vient non seulement de la métropole, mais qu’elle est aussi Nantaise. Nantes étant le premier port négrier De France…
Le tribunal administratif décide en juillet de suspendre sa nomination, en attendant un jugement sur le fond.
Une décision mal comprise par le monde universitaire nantais. Une pétition circule, a l’initiative de quelques professeurs émérites.
« Virginie avait de loin le meilleur dossier, c’est navrant d’en arriver là. Si on autorise ce genre de pratiques, c’est la fin de l’université française », dit l’un d’entre eux.
Mehdi.B fauche une jeune femme
Policiers tués sur le périph parisien : retour en prison pour le passager ; Mehdi B., qui avait échappé à un renvoi devant les assises pour le meurtre de deux policiers, a fauché fin août une jeune femme à Paris…
C’est une histoire dramatique qui le devient encore davantage. Le 21 février 2013, vers 5 h 30, Malaminne Traoré, 22 ans, au volant d’une Range Rover de grosse cylindrée, et Mehdi B., 20 ans, assis sur le siège passager, percutent à plus de 150 km/h sur le périphérique parisien une voiture de la BAC nuit. Le véhicule est projeté « comme une toupie » sur le bitume, dira un témoin, à 71 mètres du point d’impact. Le choc est d’une violence inouïe. Deux policiers meurent sur le coup. Un troisième est grièvement blessé et immédiatement transporté à l’hôpital.
Malaminne Traoré et Mehdi B. sont placés en garde à vue. Les deux hommes expliquent qu’ils sortaient de boîte de nuit, le Madam, dans le secteur des Champs-Élysées, au moment où une voiture de police a voulu les contrôler. Ivres et sans permis de conduire, ils prennent alors la fuite et s’engagent à vive allure sur le périph parisien. Ils ont bu une bouteille de vodka. La suite est assez floue, mais alors que Traoré tente de semer ses poursuivants, Mehdi B. appelle une amie et lui laisse un message sur son répondeur. Entre les bruits de moteur et de sirène, on distingue quelques mots prononcés en arrière-plan par Traoré : « Je m’arrête pas. J’ai pas le permis. »
Interrogé en garde à vue puis par le juge, Traoré couvre son ami et affirme que Mehdi lui a demandé de s’arrêter et de se rendre. Selon les expertises approfondies menées sur le message audio, les enquêteurs croient au contraire entendre Mehdi donner des indications au conducteur pour échapper à la police. Rien n’a cependant pu être prouvé, tant la qualité du message était mauvaise. De même, les investigations n’ont pas démontré, selon le juge d’instruction, que Malaminne Traoré voulait tuer les policiers. Si son intention était bel et bien « de franchir tout obstacle pouvant l’empêcher de parvenir à ses fins y compris en prenant le risque délibéré d’occasionner des accidents et d’attenter à la vie d’autrui (…) ces éléments ne peuvent suffire à caractériser l’intention de tuer », peut-on lire dans l’ordonnance de renvoi signée le 7 mai 2015 par la juge.
Traoré n’est renvoyé devant les assises que pour violences ayant entraîné la mort, sans intention de la donner. La décision provoque la colère des policiers. Mehdi B., lui, échappe à tout renvoi devant la cour d’assises et n’est renvoyé devant le tribunal correctionnel que pour des faits de trafic de stupéfiants. L’étude de sa téléphonie avait en effet montré qu’il livrait régulièrement du cannabis et de la cocaïne en scooter. De la drogue avait été retrouvée à son domicile. Placé en détention provisoire le 23 février 2013, il sort de prison sept mois plus tard, le 30 septembre.
Mehdi B. ne refera parler de lui que le 21 août 2016. Ce jour-là, à 6 h 40, une jeune femme est percutée par une voiture et est projetée à plusieurs mètres sur le trottoir. Le conducteur prend la fuite et laisse la voiture en plan. Le pare-brise est fendu et l’aile gauche enfoncée, ce qui témoigne de la violence du choc. La jeune femme est transportée à l’hôpital, le visage et le nez fracturés, des plaies apparentes sur le crâne. Rapidement retrouvé par la brigade des accidents et des délits routiers (BADR) du 13e arrondissement de Paris, le propriétaire de la voiture jure n’avoir rien à voir là-dedans et dit l’avoir prêtée à un certain… Mehdi B.
Le délinquant reste introuvable et est finalement placé en garde à vue le 19 septembre 2016, après une cavale d’un mois. Mehdi B. avoue tout et dit s’être caché en raison du traumatisme subi par les mois de détention provisoire après la mort des deux policiers… Une source judiciaire indique qu’il a aussitôt été jugé en comparution immédiate et condamné à trois ans de prison, dont deux ans assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve (SME). Il est actuellement derrière les barreaux.
L’Islamiste radical Farouk Ben Abbes assigné à résidence perçoit le RSA
Légalement bordé, certes, mais moralement discutable. L’islamiste radical Farouk Ben Abbes perçoit le RSA (revenu de solidarité active) depuis le 1 er juillet dernier. Déjà bénéficiaire du RSmportait un trop-perçu de près de 15 000 €. La chancellerie en a engagé le recouvrement auprès du Trésor public local.
Une voiture conduite par une femme en foulard enfonce la grille d’un lycée
Une femme couverte d’un foulard, -présentée comme déséquilibrée…-, a pénétré en voiture dans un lycée du Puy-en-Velay, cassant la barrière d’entrée de l’établissement avant de se livrer à un rodéo autour des bâtiments sans faire de blessé.
Le proviseur a été alerté vers 8h45 quand une voiture, moteur en marche et feux allumés, s’est arrêtée devant la barrière du lycée Charles et Adrien Dupuy et il a immédiatement prévenu la police.
Avant l’arrivée des forces de l’ordre, la conductrice a réussi à briser la barrière d’entrée de cet établissement non sécurisé et à circuler entre les bâtiments. Au moment où elle quittait les lieux, la police l’a interpellée, puis l’a placée en garde à vue.
Le proviseur avait dans l’intervalle pu rassembler tous les élèves dans les locaux, leur évitant ainsi de se trouver sur la trajectoire de la conductrice.
L’enquête, confiée à la DDSP selon le parquet, devra notamment tenter de déterminer les raisons de son geste et les motifs de son port du foulard.
Un faux anesthésiste réanimateur Algérien a exercé dans plusieurs hôpitaux
Le faux anesthésiste réanimateur a exercé à la maternité régionale Adolphe-Pinard de Nancy entre mai 2013 et janvier 2016.
Il avait réussi à passer, avec succès, tous les barrages avant d’avoir sa place dans un bloc opératoire. On retrouve d’ailleurs son nom dans la liste des praticiens (étrangers) « ayant satisfait aux épreuves de maîtrise de la langue française », prévues par le code de la santé publique. Une liste publiée au Journal officiel (JO) de janvier 2010. En revanche, pas de trace de lui au tableau de l’Ordre national des médecins. Ce qui n’a pas empêché l’usurpateur d’exercer une carrière dans plusieurs centres hospitaliers français – Juvisy-sur-Orge, Longjumeau ou encore Corbeil-Essonnes – entre 2009 et 2011. Avant de faire valoir ses talents d’anesthésiste réanimateur à la maternité régionale Adolphe-Pinard de Nancy entre mai 2013 et janvier 2016.
Mais à en croire une condamnation du tribunal correctionnel d’Évry prononcée à son encontre en décembre 2015, de nombreux patient(e) s se sont endormi(e) s entre les mains de ce praticien de 43 ans sans que celui-ci ne soit titulaire d’un diplôme ou d’une équivalence lui permettant d’exercer sa spécialité. « La plus difficile et la plus risquée », avait-il déclaré devant le tribunal d’Évry. « Cela fait huit ans que j’exerce, je n’ai jamais commis de faute. » Le quadragénaire ciblé en 2011 après une dénonciation anonyme, publiait également dans des revues médicales en France ou à l’étranger aux côtés de confrères.
Pour sa défense, le prévenu qui assurait être un vrai médecin, fournissait la photocopie d’un diplôme décroché après des études réalisées en Algérie. Sans être en mesure d’en fournir l’original. Si à l’époque, durant son audition par la police, il aurait reconnu n’être qu’infirmier anesthésiste et avoir falsifié le document, le quadra s’était rétracté à la barre. Il avait malgré tout été condamné à une interdiction définitive d’exercer l’activité de médecin et avait échappé à une peine de prison.
La procédure avait alors été transmise au parquet de Nancy car au moment de sa condamnation, l’anesthésiste était encore officiellement rattaché à la maternité de Nancy. Un établissement intégré au CHRU depuis le 1er janvier 2014.
L’enquête avait alors été transmise à la division économique et financière du SRPJ de Nancy. Domicilié à Metz, le praticien alors en arrêt maladie, était placé une première fois en garde à vue en février 2016 dans le cadre du volet nancéien de ce dossier. Avant d’être remis en liberté. Le temps que la photocopie de son diplôme d’anesthésiste soit passée au microscope du centre national de la police technique et scientifique (PTS) d’Écully (Rhône).
Les experts relèvent que le document a été retouché. Probablement à l’aide d’un logiciel. En parallèle de ces analyses, une réquisition lancée auprès des autorités algériennes assurait il y a quelques jours seulement, que l’individu n’était pas connu pour être titulaire d’un diplôme de médecin anesthésiste.
La semaine dernière, le 30 septembre, le « docteur » C. était de nouveau placé en garde à vue. Et maintenait sa position. Libéré au terme de cette nouvelle audition, le suspect sera jugé en mars prochain par le tribunal correctionnel de Nancy, cette fois. Pour « usage de faux » et « exercice illégal de la profession de médecin ».
La soumission de commerçant au halal
L’affiche trône au-dessus du comptoir : « nous garantissons à notre aimable clientèle que toutes nos pâtisseries sont réalisées avec de la gélatine de poisson ».
Surpris par cette affiche, un client interroge la fille du pâtissier sur la raison de cette surprenante et récente annonce. Un peu gênée, elle expliqua qu’il avait été décidé de remplacer la gélatine de porc par de la gélatine de poisson pour une question d’hygiène.
Devant cette explication embarrassée et peu convaincante, le client demande alors si cela n’avait pas été décidé pour se soumettre aux exigences de clients musulmans. L’air presque soulagé, la fille du pâtissier indiqua qu’effectivement il s’agissait de se conformer à leur demande de pâtisseries hallal.
Voilà le fin mot de l’histoire. Pour satisfaire quelques clients minoritaires et qui n’ont aucun droit à exiger que la loi musulmane s’applique dans les commerces, ce pâtissier bien connu des environs d’Aix les Bains a donc accepté de se soumettre et de soumettre la grande majorité de ses autres clients, à une loi religieuse, la charia, qui ne possède en effet aucune légitimité à s’appliquer en France.
Mais les confidences n’étaient pas terminées. La fille du pâtissier, qui semblait en avoir gros sur le cœur, poursuivit en expliquant que cette aberration était allée plus loin. Leurs clients musulmans avaient ensuite exigé que dans leur magasin de Chambéry, ils fermassent la porte commune que cette pâtisserie avait avec un commerce vendant des spécialités savoyardes, fromage et charcuterie. En effet, ces clients « exotiques » craignaient que les parfums et senteurs émanant de ces charcuteries, qui enchantent les papilles de tout bon savoyard ou simple gourmet, rendent impures les pâtisseries voisines…!
Voilà comment une simple question de vie quotidienne rend mieux compte que tous les grands discours de l’affrontement de deux civilisations où la plus minoritaire essaye et réussit, grâce à la complicité et au renoncement de certains, à imposer ses propres lois et codes culturels, au mépris d’une tradition multimillénaire.
Certains pharmaciens ont fait remarquer qu’ils étaient eux-aussi l’objet de pression de la part de clients musulmans qui n’hésitaient pas à demander des médicaments sans adjuvants à base de porc et exigeaient d’eux qu’ils le vérifient sur le Vidal ! Ce qu’ils refusaient de faire puisque ces demandes étaient sans fondement médical.
La Ligue-du-Sud remporte le duel face au FN
Dimanche, la Ligue du Sud a remporté 66,67% des voix dans le canton d’Orange (Vaucluse) plaçant ainsi Yann Bompard, le fils de Jacques Bompard maire d’Orange, et Marie-Thérèse Galmard au conseil départemental.
Ils avaient été élus en mars 2015 avec 50,03%, soit 6 voix seulement de plus que le binôme frontiste (49,97%), qui avait intenté un recours.
Lors du premier tour de l’élection départementale partielle, la Ligue-du-Sud était arrivée en tête avec 41,16% des suffrages devant le FN (24,30%). Les trois autres binômes en lice avaient été éliminés en ne rassemblant que 15,80% des voix pour Les Républicains, 13,83% pour le Front de gauche et 4,91% pour la liste écologiste.
Très léger rabotage des privilèges des anciens présidents
La nuit du 4 octobre n’aura pas vu de grande abolition des privilèges des anciens présidents de la République. Mais elle aura au moins connu une restriction et rationalisation du soutien logistique et matériel que leur offre l’Etat, grâce à un décret présidentiel publié entre mardi et mercredi au Journal officiel.
Les avantages matériels des ex-chefs d’Etat prévus par une simple lettre de 1985, adressée par Laurent Fabius, alors premier ministre, à Valéry Giscard d’Estaing, et fixant le « statut dans la nation des anciens présidents » sont désormais légalement fixés.
Alors que les anciens présidents (Valéry Giscard d’Estaing, Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy) coûtent chaque année 10,3 millions d’euros à l’Etat, François Hollande a décidé de limiter leurs avantages, principalement dans le temps.
Ainsi, ces derniers continueront à pouvoir bénéficier d’une équipe de sept collaborateurs permanents (et deux agents de service) mais seulement pour cinq ans (le rapport préconisait dix ans), période au-delà de laquelle leur nombre sera réduit à trois collaborateurs et un agent de service. Pour les chefs d’Etat investis avant le 15 mai 2012, le délai de cinq ans court à compter de la date d’entrée en vigueur du décret.
Pour les chefs d’Etat élus après François Hollande, un appartement de fonction meublé sera toujours mis à leur disposition à l’issue de leur mandat – et sans limite de temps –, mais il ne sera plus question d’y affecter deux personnes.
Plus question non plus de voiture de fonction avec deux chauffeurs ni, comme le suggérait le rapport du premier président de la Cour des comptes Didier Migaud et du vice-président du Conseil d’Etat Jean-Marc Sauvé, d’offrir les transports gratuits en première classe, dans le train comme dans l’avion.
Les « frais de réception et de déplacement » ne seront pris en charge par l’Etat qu’uniquement pour des activités liées spécifiquement à leurs fonctions d’anciens chefs de l’Etat. Enfin, ces derniers continueront de percevoir une « dotation » de 65 000 euros brut par an, une mesure entérinée par la loi dès 1955.
Quand le juif Polanski menace la libanaise Salamé
Au cours d’une entrevue menée par la libanaise naturalisée française Hala Salamé (dite Léa Salamé), le juif à papiers français et polonais, Rajmund Roman Thierry Polański, menace la journaliste de la « pulvériser » si elle évoque son passé d’agresseur pédomane de mineures et ses déboires judiciaires.
http://www.dailymotion.com/video/x4wby8s_roman-polanski-vs-lea-salame-je-vais-vous-pulveriser_shortfilms
Air France : menace terroriste après d’inquiétants incidents passés sous silence
La compagnie Air France et les services de renseignement sont sur le qui-vive après la multiplication d’incidents qui pourraient révéler la présence de nombreux agents radicalisés dans les rangs de l’entreprise. Si pour l’heure, aucune de ses anomalies n’a entraîné d’accidents, ces dernières posent question. « Concernant Air France, nous avons constaté plusieurs anomalies avant le départ de vol commerciaux, détaille un fonctionnaire du Renseignement. Elles s’apparentent à des tentatives de sabordage ». Si la compagnie se veut rassurante sur la sécurité de son personnel et de ses clients, un commandant de bord a refusé faire décoller son avion en faisant valoir son droit de retrait après un énième incident. Air France a récemment déposé plainte après que les trappes de remplissage en kérosène sur une quarantaine de ses avions ont été taguées d’un « Allahou akbar » (« Dieu est le plus grand », NDLR). Et d’autres anomalies ont été repérées ces derniers mois. Ainsi, au moment de la check-list, les essais réalisés avant le décollage, plusieurs pilotes ont détecté une panne récurrente sur le moteur relais, qui permet de contrôler les réacteurs depuis le cockpit. Il s’est avéré après enquête, qu’un Français inverti à l’islam, employé par Air France, a été identifié comme suspect. Rapidement, il a pris la fuite et a été repéré au Yémen. Deux autres salariés de la compagnie, des connaissances du premier, sont eux soupçonnés d’avoir trafiqué plusieurs toboggans d’évacuation destinés aux appareils de la compagnie aérienne française. Une opération réalisée dans leur atelier de maintenance. A cela s’ajoutent, ce qu’appelle les services de renseignements, des « signaux faibles » c’est à dire des comportements ou des anomalies sans risque mais inquiétants. Ainsi début août 2016 un agent de piste a refusé de laisser atterrir un avion au prétexte qu’une femme le pilotait.
Les services de sécurité le reconnaissent : les entreprises sous-traitantes apparaissent comme une faille. Comment les contrôler et vérifier les activités de leurs employés quand elles ne sont pas situées sur la zone aéroportuaire de Roissy ? En attendant, les services de renseignement, dont 30 policiers ont été placés en renfort, ont en charge la surveillance de 90 000 salariés répartis dans 900 entreprises. Mission impossible…
Etranger
Europe
Kosovo : troubles autour de la frontière avec le Monténégro
Autoproclamé indépendant depuis 2008, la République du Kosovo a conclu en 2015 avec le Monténégro un accord destiné à pérenniser le tracé de leur frontière commune, jamais vraiment délimitée du temps ou les 2 pays appartenaient à la République fédérale de Yougoslavie. Cet accord international est même une des conditions fixées par l’Union européenne pour permettre aux Kosovars de circuler sans visas…
En pratique, le tracé fixé par l’accord conduirait la République autoproclamée du Kosovo a cédé au Monténégro environs 8000 hectares de terre, principalement de forêt et de pâturages. Dont beaucoup appartenant au domaine public d’une quinzaine de communes kosovares. Et leurs autorités et la population, majoritairement albanaises, ne le voient pas d’un bon œil ! Résultat des habitants se rebellent contre cet accord qui n’est pas encore ratifié par le Parlement kosovar : « On donne nos pâturages et nos sources au Monténégro et la nouvelle frontière arrive aux portes de nos maisons » ; « Cet accord est insensé alors que tous les noms de lieu de la région sont albanais et que durant toutes mes années, je n’ai pas vu un seul policier ou soldat monténégrin patrouiller ou monter la garde sur ce territoire que maintenant on leur donne » ; « Des tombes albanaises risquent de se retrouver chez le voisin slave, abandonnées de l’autre côté par Thaçi et Mustafa » (Président et Premier ministre kosovars).
À l’Assemblée, la ratification d l’accord qualifié de « capitulation » par certains députés, est sans cesse repoussée. Et à chaque session où il évoqué, l’hémicycle devient le théâtre de manifestations violentes, de lacrymogène jeté par des députés. Des grenades ont même été lancées de nuit sur le bâtiment du Parlement ou celui de la télévision publique dont le patron a vu sa maison également visée…
Les Albanais, population importée au Kosovo, province serbe, trouvent à redire au fait de perdre une portion de leur « territoire national », alors qu’ils ont eux-mêmes arraché par la violence ce territoire à sa véritable mère-patrie, la Serbie !
Kosovo je Srbija – Le Kosovo c’est la Serbie
Royaume-Uni : 400 jihadistes de l’État Islamique de retour et pas inquiétés
Le Home Office britannique, une sorte de ministère chargé des questions intérieures, a affirmé devant la Chambre des Lords qu’environ 850 individus, dont vraisemblablement une grande majorité d’envahisseurs à papiers britanniques, ont quitté les pays pour rejoindre les rangs de l’État Islamique. Ces individus sont qualifiés « d’adeptes d’une foi déformée », en réalité soldats de l’idéologie jihadiste islamique. Et seulement 14 des 400 jihadistes revenus en Grande-Bretagne ont été emprisonnés ! Un député travailliste s’en est pris au gouvernement, appelant à poursuivre plus de ces « jihadistes déments ». « Il n’a qu’un petit nombre d’entre eux qui ont été poursuivis et c’est absurde de dire qu’il s’agit de quelque manière que ce soit d’un succès, Si ils savent qui ils sont, ils doivent les poursuivre. Mais la police et les services de sécurité n’ont pas les ressources pour le faire ». Ces faibles chiffres du bilan du gouvernement ont été qualifiés de « très inquiétants » par le directeur du Centre pour la sécurité et le renseignement de l’université de Buckingham. Il a ajouté : « Ces gens ont été formés pour être des tueurs et quel message leur envoie-t-on, à eux et au monde, en ne les poursuivant pas ? »
Espagne : viol d’une jeune fille devant son ami par des envahisseurs sud-américains
À Saragosse, la police recherche un certains nombres de jeunes envahisseurs d’origine sud-américaine qui ont violemment battu et violé une jeune fille devant son petit ami. L’agression a eu lieu samedi 8 octobre au matin, après la fermeture d’une d’un établissement à l’ambiance latino-américaine dans le quartier de Delicias connu comme une zone d’immigration débordante où la sécurité publique n’est pas assurée. Une patrouille de police-secours prévenue, s’est rendue sur les lieux et a trouvé 2 jeunes gens blessé au sol dont une jeune fille qui a affirmée avoir été violée par plusieurs jeunes envahisseurs sud-américains alors que son petit ami était violemment entravé et battu. Les victimes ont été conduites à l’hôpital et au service de médecine légale.
Nos camarades espagnols de Democracia Nacional nous informent que cette agression et ce crime sexuel ont eu lieu précisément le jour du début des fêtes du Pilar, et la municipalité de gauche extrémiste tendance « Podemos » en a profité pour lancer une campagne contre les agressions sexuelles, « Non c’est non » ! Mais ce que la municipalité a oublié de dire c’est que les agressions sexuelles sont le fruit de l’immigration massive encouragée et organisée par les institutions publiques et ses organisations tentaculaires. Et pour aggraver les choses, en pleine fêtes du Pilar, un festival de musique, appelé « Métissage » est organisé pour promouvoir le multiculturalisme et pour que tous ces criminels se sentent bien au milieu de la population et qu’ils profitent de leur intégration pour commettre toutes sortes de crimes.
Monde
Yémen : risques d’extension du conflit
Alors que l’USS Mason effectuait dimanche soir « des opérations de routine dans les eaux internationales », 2 missiles, tirés à une heure d’intervalle, sont tombés dans les eaux de la mer Rouge sans atteindre le navire et sans faire ni victime ni dégât, a déclaré Paula Dunn, porte-parole du Navcent : « Nous estimons que ces missiles ont été tirés depuis les territoires contrôlés par les houthis au Yémen ». L’incident intervient quelques jours après qu’un navire des Émirats Arabes Unis a été touché par des roquettes, également en mer Rouge, près du détroit stratégique de Bab Al-Mandeb, où il était en mission humanitaire, selon Abou Dhabi. L’attaque, menée le 1er octobre à l’aube, avait, elle, été revendiquée par les rebelles houthis. En effet, les Émirats Arabes Unis sont membres de cette coalition arabe sunnite, dirigée par l’Arabie saoudite qui intervient au Yémen pour soutenir le gouvernement reconnu par la communauté internationale face des rebelles chiites, qui se sont emparés de la capitale Sanaa il y a 2 ans.
Alors que les négociations de paix interyéménites sont dans l’impasse, les rebelles houthis ont intensifié leurs attaques aux missiles, en réponse aux raids aériens aveugles de la coalition, qui frappent indistinctement des rebelles mais également des hôpitaux ou dispensaires de MSF ou des civils. Et le tout dans l’indifférence complice de la communauté internationale qui, par contre, ne se prive pas de condamner des bombardements des forces loyalistes syriennes contre des groupes pourtant clairement islamo-terroristes.
Vidéo
Une volonté nous appelle – part.1
Nouveauté littéraire
Carnet de campagne d’un agent de liaison : Russie hiver 1941-1942 – Caporal Charles Larfoux
Le carnet de campagne est, par définition, un fabuleux témoignage historique car il est écrit jour après jour, avec une multitude de détails et se place bien au-dessus de tous les récits d’anciens combattants rédigés souvent plusieurs années après leur expérience du combat. Dans ce carnet de campagne du Caporal Larfoux, on découvre un Front de l’Est où la souffrance, tant morale que physique, est quotidienne et occupe la plus grande place chez ces engagés dans la L.V.F. qui n’étaient pas nécessairement préparés à un climat si hostile et à une Russie agonisante.
L’auteur ne s’envoie pas de lauriers dans ce carnet, il parle de son quotidien, en utilisant les mots usités entre camarades.
« Si le bolchevisme triomphe, la plus affreuse des morts fera payer aux nationaux, leur trahison vis-à-vis de nous. Car c’est bien une trahison de pousser les autres à s’engager, d’organiser de grands meetings populaires où l’on s’écrie « Je donne l’exemple… je pars ! » et de rester chez soi, toujours aussi patriote, toujours aussi militant, toujours aussi prodigue de la vie des autres Français, et aussi avare de la sienne ! « Caporal Charles Larfoux
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2016, édition du Lore, 172 pages et cahier 12 pages de planches photographiques.
Imprimé sur un luxueux papier couché 130gr/m2. Grand format : 15×23 cm.
26€ + 6€ de port à
CALD
BP 92733
21027 Dijon Cedex
ou en ligne sur la Boutique Nationaliste (ici)
Ephéméride nationaliste
10 octobre 1945 : assassinat de Joseph Darnand (biographie)
10 octobre 2006 : mort de Jean Ferré
11 octobre 1911 : naissance de Serge Krotoff (biographie)
11 octobre 1945 : assassinat Jean Hérold-Paquis (biographie)
Agenda
Bruxelles : Concert de Docteur Merlin
15 octobre 2016
Informations sur l’agenda Jeune Nation (ici)
© Jeune nation – 2016
Diane, nymphe et satyre, 1622-1623, Antoine van Dyck
(Musée du Prado – Madrid)
Cannabis, « il faut sortir du tabou » plaide la senatrice EELV Esther Benbassa. « Légaliser va permettre de travailler » analyse William Lowenstein. Pour Romain Perez, cela entraine « une baisse de la criminalité ». Bertrand Dautzenberg pointe « les bénéfices en termes de santé publique ». Ethan Nadelmann et David Weinberger, venus tout expres des USA, ont conclu le colloque. Audrey Azoulay n’a pas encore donne sa position.
http://www.publicsenat.fr/lcp/politique/legalisation-cannabis-il-faut-sortir-tabou-plaide-esther-benbassa-1517558