Sommaire :
Actualité nationaliste en France
- Militant – Octobre 2016 – Main basse sur l’agriculture et sa crise
France
- Invasion migratoire : le Grand orient de France veut naturaliser les envahisseurs
- Le chanteur marocain Saad Lamjarred interpellé pour un viol aggravé
- Djihadisme: dissolution d’une association d’aide aux détenus musulmans
- Ali Abou A insulte et frappe les pompiers venus le sauver à Roubaix
- 26 mentions au casier, Kader condamné à 18 mois pour cambriolages
- Un récidiviste Congolais usurpe 18 identités pour ouvrir des crédits
- Un parent d’élève Marocain agresse une enseignante à Marmande
Etranger
Europe
- Kosovo occupé : un fondateur de l’UCK inculpé pour crime organisé et blanchiment
- Grèce : des envahisseurs bloqués en Grèce par la fermeture des frontières rebroussent chemin vers la Turquie
Monde
- États-Unis : violente émeute de colons africains attaquant des étudiants blancs
Vidéo
- Vincent Reynouard – De la Terre plate aux « chambres à gaz » (vidéo 3/3)
Ephéméride nationaliste
- 31 octobre 1989 : assassinat de Françoise Combier
Agenda
- 6 novembre 2016 – Toulouse – Colloque de Jeune Nation
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Actualité nationaliste en France
Militant – Octobre 2016 – Main basse sur l’agriculture et sa crise
Entretien filmé numéro 9 de Militant «revue nationaliste pour la défense de l’identité française et européenne», en présence de son rédacteur en chef, M. André Gandillon.
France
Invasion migratoire : le Grand orient de France veut naturaliser les envahisseurs
Dans un communiqué du 28 octobre 2016 dans lequel il se félicite du démantèlement de la « jungle de Calais » et surtout du saupoudrage des envahisseurs sur tous notre territoire, le Grand Orient de France, synagogue de Satan, propose au gouvernement de passer à l’étape suivante : la naturalisation de tous els envahisseurs :
« Calais : après la « jungle », la citoyenneté
Attentif depuis longtemps à la situation des réfugiés de Calais, notamment à travers l’action de sa Fondation, le Grand Orient de France se félicite du démantèlement de la « jungle ». Les conditions d’hébergement et de vie des réfugiés n’étaient pas dignes d’une grande démocratie. Il convient donc de saluer la décision qui permet à ceux d’entre eux susceptibles de demeurer en France d’être accueillis sur la totalité du territoire national.
Les efforts déployés par les élus locaux, les fonctionnaires, les associations, les citoyens individuellement, afin de faciliter l’accueil des réfugiés illustrent la tradition d’accueil et d’hospitalité de notre République. Tradition qui doit d’autant plus s’appliquer aux populations meurtries qui ont dû fuir la guerre, la barbarie et le fanatisme.
Notre devoir moral et civique nous enjoint à l’exercice immédiat et concret de la solidarité au nom de la Fraternité et de l’Humanisme.
Désormais, pour les réfugiés qui souhaitent s’installer durablement en France, la seule voie qui convient est celle de l’intégration et de la citoyenneté.
Le Grand Orient de France encouragera toutes les initiatives grâce auxquelles, demain, les réfugiés deviendront des citoyens à part entière, avec les droits et les devoirs qui s’appliquent à tous au sein de la communauté nationale. »
Le Grand Orient de France est déjà en retard d’une guerre ! Depuis la loi du 28 décembre 2015 relative « à l’adaptation de la société au vieillissement » (ça ne s’invente pas), les envahisseurs qui se sont vus octroyer l’asile peuvent solliciter la nationalité française par naturalisation dès la reconnaissance de leur statut sans attendre d’avoir 5 ans de résidence…
On notera au passage l’aveu implicite contenu dans la loi du 28 décembre 2015. Le gouvernement met en œuvre le grand remplacement : la population française de souche vieillit, on la remplace par des étrangers qu’on naturalise et dont on fait des Français de papiers…
Merci qui ? Merci Manuel Valls, quand même !
Le chanteur marocain Saad Lamjarred interpellé pour un viol aggravé
Le chanteur marocain Saad Lamjarred, 31 ans, a été mis en examen et placé en détention provisoire vendredi 28 octobre dans la soirée pour viol aggravé et violences volontaires aggravées. Une information judiciaire a été ouverte dans la matinée et il a été déféré devant le juge d’instruction.
L’artiste a été arrêté par la police judiciaire mercredi à l’hôtel Marriott des Champs-Elysées, dans le 8e arrondissement de Paris. Une femme de nationalité française âgée de 20 ans avait réussi à s’échapper de sa chambre pour se réfugier à la réception, d’où les autorités ont été alertées.
La jeune femme, « extrêmement choquée », selon plusieurs sources judiciaires, a déposé plainte pour agression sexuelle avec violence. Selon les premiers examens médicaux, des lésions ont été constatées sur le corps de la victime ainsi que plusieurs blessures. Saad Lamjarred était sous l’emprise de l’alcool et de la cocaïne, ce qui constitue un facteur aggravant.
Le chanteur, très en vogue au Maroc et plus largement dans le monde arabe, devait donner un concert samedi au Palais des congrès, à Paris.
Saad Lamjarred a déjà été poursuivi et brièvement incarcéré aux Etats-Unis pour des faits similaires. En février 2010, une jeune Américaine avait déposé plainte pour agression sexuelle. Le chanteur avait ensuite fui le pays dans l’espoir d’éviter les tribunaux. Il risque une peine de vingt-cinq ans de prison. En mai 2016, il a été sommé, en vain, par la Cour suprême de l’Etat de New York de se présenter au tribunal.
Au Maroc, Saad Lamjarred, décoré par le roi Mohammed VI en 2015, est une fierté nationale.
Djihadisme: dissolution d’une association d’aide aux détenus musulmans
Procédure de dissolution contre une association d’aide aux détenus musulmans. Le président de l’association Sanabil, assigné à résidence depuis le 23 novembre 2015, serait une « figure historique de la mouvance djihadiste française ».
Les autorités ont lancé une procédure de dissolution à l’encontre de Sanabil, une association d’aide aux détenus musulmans et à leurs familles. Elle aurait des liens présumés avec l’islamisme radical, ont indiqué ce vendredi des sources au sein des services de renseignements. Le nom de cette association, créée en 2010 et basée en Seine-et-Marne, est apparue dans « de nombreux dossiers terroristes ». Son président, assigné à résidence depuis le 23 novembre 2015, est une « figure historique de la mouvance djihadiste française ».
Les avoirs de Sanabil ont déjà été gelés, poussant l’association à lancer vendredi matin via sa page Facebook une collecte de timbres et d’enveloppes afin d’être en mesure de prévenir quelque 740 détenus en France et à l’étranger de la situation dans laquelle elle se trouve. « Nous est reproché, entre autres, le fait de venir en aide à un certain profil de détenus ainsi qu’à leurs proches », affirme l’association dans un autre message.
Ali Abou A insulte et frappe les pompiers venus le sauver à Roubaix
Un « jeune » de 19 ans s’est attaqué samedi soir à des pompiers qui venaient pour le prendre en charge. Le voyant très malade, sa mère avait appelé le 18… En fait, il était ivre.
Samedi soir, dans le quartier du Pile, la mère d’Ali Abou A. appelle les pompiers. Son fils de 19 ans est hagard, il vomit, elle est très inquiète. En fait, il est ivre mort, elle ne l’a jamais vu dans cet état. Mais le jeune homme ne veut pas qu’on s’occupe de lui. Et lorsque les pompiers s’avancent vers lui, il les accueille vertement : insultes, coups… « Il était déchaîné », témoignera un pompier. La police est appelée. Ali Abou A. continue de vociférer jusque dans les geôles du commissariat.
Jugé en comparution immédiate mardi, Ali Abou A. se fait tout petit. Le procureur Xavier Laurent retient surtout que le « jeune » a été condamné de nombreuses fois par la justice des mineurs dont trois pour un comportement outrageant vis-à-vis de policiers. Il requiert six mois de prison avec mandat de dépôt.
Ali Abou A. a été condamné à six mois de prison ferme, sans mandat de dépôt.
26 mentions au casier, Kader condamné à 18 mois pour cambriolages
Mercredi, le tribunal a condamné Kader à vingt-quatre mois de prison dont six assortis du sursis avec mise à l’épreuve pour trois cambriolages et une tentative de cambriolage.
Au départ de l’enquête, il avait été suspecté pour dix-huit cambriolages… Mais, à la fin de sa garde à vue, le parquet a décidé de le faire juger en comparution immédiate et de ne retenir que quatre faits qu’il estimait établis. Dix-huit cambriolages – on ne prête qu’aux riches – et, dans ce domaine, Kader était susceptible d’attirer les suspicions : son casier judiciaire comporte vingt-six mentions pour cambriolages ou faits liés aux stupéfiants.
Et, à peine sorti de prison en mai, il a tenté de voler de l’or en entrant par effraction dans une maison à La Chapelle-sur-Loire. Mais le propriétaire l’a surpris et a tenté de l’empêcher de s’enfuir, tout en donnant un signalement précis. Tout comme une autre victime, un mois plus tard, à La Chapelle-aux-Naux.
Le suspectant, les gendarmes ont équipé son scooter d’une balise et ont recherché les bornages de son téléphone portable. Ainsi, il a été repéré aux alentours et à l’heure de deux autres cambriolages.
Depuis le box, Kader ne reconnaît que la tentative mais nie les vols. « C’est pas moi ! Si c’est moi qui l’aurais fait (sic), je l’aurais dit… » Trois ans requis.
Le tribunal a assorti sa peine de deux ans de prison de six mois avec sursis mise à l’épreuve et obligation de soins psychologiques.
Un récidiviste Congolais usurpe 18 identités pour ouvrir des crédits
Un Congolais de 54 ans a été condamné à trois ans de prison ferme pour avoir usurpé dix-huit identités différentes. Il est interdit de séjour en France pendant cinq ans.
Jeudi, un Congolais de 54 ans était poursuivi pour escroquerie en récidive, recel, et détention frauduleuse de faux documents administratifs. Cartes bleues, pièces d’identité, relevé d’identité bancaires ont été falsifiés et utilisés par le prévenu entre le 8 octobre au 24 novembre 2015 abusant plusieurs commerçants sur Vannes, Paris, Saint-Germain-en-Laye.
Son interpellation, il la doit à la vigilance d’un employé de la Fnac de Vannes. Le prévenu ayant tenté d’ouvrir un crédit pour l’achat d’un IPhone 6 en présentant un relevé d’identité bancaire et une pièce d’identité au nom d’un M. Durant.
Sur lui, les officiers de police retrouvent plusieurs cartes bancaires, des RIB en cours de falsification (comportant des collages) trois fausses pièces d’identité, plusieurs chèques vierges et la copie d’un passeport volé.
« Mais que comptiez-vous faire de tous ces documents ? », insiste à plusieurs reprises la magistrate. « J’étais en situation irrégulière, j’ai un sens moral, mais là je vous parle de survie. J’achetais principalement des iPhone facilement revendables. »
Une des parties civiles représentant les sociétés de financement ou treize crédits ont été ouverts sur la base de faux documents, réclame 30 000 € de préjudices.
Le tribunal l’a condamné à trois ans de prison ferme et cinq ans d’interdiction de séjour sur le territoire national.
Un parent d’élève Marocain agresse une enseignante à Marmande
Il avait agressé une enseignante à Marmande : 15 mois de prison ferme pour le parent d’élève
A la lecture des propos qu’il aurait tenus le 21 septembre dernier à la directrice de l’école élémentaire Édourd-Herriot de Marmande, le père d’élève de 42 ans nie en bloc. « Si vous prévenez les services sociaux, je vous tuerai, je tuerai aussi votre fils, je n’ai pas peur d’aller en prison, j’y suis déjà allé. Je prendrai dix ou quinze ans », rapporte la procédure sous la lecture du président du tribunal correctionnel d’Agen, Ludovic Pilling. Le magistrat pose ainsi une question évidente : « Pourquoi l’enseignante aurait-elle signalé ces paroles, si vous ne les avez pas prononcées ? » « Sans doute car je lui ai dit qu’elle travaillait mal, qu’elle ne surveillait pas correctement mon fils », avance le prévenu.
L’explication n’a pas convaincu la juridiction. Le quadragénaire a été condamné, mercredi en début de soirée, à quinze mois d’emprisonnement ferme avec mandat de dépôt. Dans le cadre des poursuites, le prévenu devait également répondre d’intrusion dans un établissement scolaire – il avait sauté le portail pour atterrir dans la cour d’école pour échapper à l’interpellation des gendarmes – mais aussi d’infraction à une interdiction de séjour. Une mesure prononcée dans le cadre d’une précédente condamnation datant de 2013, à quatre ans de prison pour trafic de stupéfiants avec l’interdiction de se rendre en Lot-et-Garonne pendant cinq ans.
À l’annonce de sa condamnation, le prévenu, qui a toujours réfuté les menaces, souhaitait faire appel.
Etranger
Europe
Kosovo occupé : un fondateur de l’UCK inculpé pour crime organisé et blanchiment
Un ancien compagnon d’armes du président de la République auto-proclamée du Kosovo, Hashim Thaçi, ainsi que 38 autres personnes, ont été inculpés de corruption, a annoncé mardi 25 octobre le parquet kosovar. Il s’agit d’Azem Syla, qui est poursuivi pour avoir pris la tête d’un « groupe organisé qui par le biais d’activités criminelles, notamment la falsification de documents officiels et le paiement de pots de vin à des responsables publics, a mis la main sur des biens » appartenant à l’État, dont la valeur est estimée à 30 millions d’euros. Syla et son groupe criminel ont agi de concert avec des membres de la police et des citoyens serbes et albanais pour vendre des terrains à Çagllavicë, dans la périphérie de la capitale Prishtina. Par l’abus de ses fonctions Syla a ainsi dépouillé le budget du Kosovo d’environ 30 millions d’euros.
Recherché par la justice locale, Syla a démissionné de son poste de député du Parti démocratique du Kosovo, le parti du président Hashim Thaçi au pouvoir, et s’est rendu aux autorités fin avril dernier, quelques jours après l’arrestation de 6 autres personnes impliquées dans cette affaire. L’opération policière et l’enquête avaient été menées en collaboration avec le procureur serbe contre le crime organisé.
Azem Syla est le genre de petite ordure auxquels les Nations-Unies et l’Union européenne ont confié les reines du Kosovo arraché à sa mère patrie la Serbie, par la force des armes de l’OTAN en 1999. Azem Syla a brièvement dirigé cette année-là l’UCK qu’il avait cofondé, pseudo armée de libération nationale mais vrai groupe terroriste albanais. Il était aussi, pendant la guerre contre les forces serbes, un des négociateurs de l’UCK auprès de M. Thaçi.
Mais au-delà son engagement terroriste, son nom est déjà apparu quand ont été portées des accusations d’assassinats politiques qui auraient été ordonnés par les chefs de la rébellion kosovare pour permettre leur propre ascension, en éliminant des Albanais qui leur faisaient de l’ombre comme Ibrahim Rugova ou Ahmet Krasniqi.
La réputation d’Azem Syla, comme celle d’Hashim Thaçi, a également été affectée par un rapport du Conseil de l’Europe, adopté en janvier 2011, mentionnant son nom dans une affaire de trafic d’organes sur des prisonniers, essentiellement serbes, pendant et après le conflit.
Enfin, son nom a été cité dans des médiats suisses à l’occasion d’un scandale de prestations sociales indues qu’il aurait touché. Syla a en effet vécu pendant plusieurs années en Suisse où il a reçu une pension comme « invalide mental ». Alors même qu’il était devenu membre de l’Assemblée kosovare, il a été découvert qu’il n’était pas malade et que pendant plusieurs années il a abusé les assurances sociales suisses en touchant des centaines de milliers de francs de pension…
Voilà à qui la communauté internationale (dont quelques représentants de l’époque sont Carl Bildt, Martti Ahtisaari, Louise Arbour, Bodo Hombach, et les célèbres Madeleine Allbright, Richard Holbrook, Jacques Chirac…) a donné sa confiance pour présider à la destinée de la province serbe du Kosovo.
Grèce : des envahisseurs bloqués en Grèce par la fermeture des frontières rebroussent chemin vers la Turquie
Des envahisseurs arrivés en Grèce il y a plusieurs mois, se retrouvent bloqués dans le pays par la fermeture ou la sécurisation (même imparfaite) des frontières bulgares, macédoniennes ou albanaises. Ayant vécu aussi bien dans des camps d’accueil que par leurs propres moyens dans les rues de plusieurs villes grecques, de plus en plus souvent un certain nombre décident de rebrousser chemin et de repartir en Turquie. Ils sont ainsi plus 60 000 envahisseurs actuellement piégés en Grèce, notamment après l’accord entre l’Union européenne et la-Turquie du 18 mars visant à renvoyer systématiquement en Turquie ceux qui arrivent. Ils se trouvent ainsi dans une impasse car leur aspiration à un nouveau départ dans un pays européen est désormais quasi-impossible en raison de la complexité des programmes de relocalisation dans l’Union qui sont également bridés par les refus d’un certains nombres de pays de recevoir plus d’envahisseurs.
Un envahisseur syrien provenant d’Alep, Adam, décrit ainsi son séjour : « Nous sommes dans la rue depuis des mois, sans logement. A notre arrivée en Grèce, nous sommes allés au camp d’Idomeni où nous y sommes restés pendant trois mois », espérant franchir la frontière gréco-macédonienne pour aller en Allemagne. Adam et sa famille ont ensuite tenté leur chance à Thessalonique, grande ville grecque proche d’Idomeni, avant de se retrouver à Athènes. « Nous avons réalisé qu’on est bloqués par la fermeture des frontières et avons finalement décidé de rentrer ». Il vient donc d’arriver à la gare de Didymoticho, un village près de la frontière gréco-turque, avec sa femme, ses trois enfants et cinq proches, et s’apprête à passer un contrôle policier avant de tenter de passer en Turquie : « Je veux rentrer en Syrie. Il y a la guerre dans mon pays mais ça fait sept mois que nous vivons en Grèce comme des prisonniers ».
Un garde-frontière à Didymoticho, commente : « Avec leurs papiers [octroyés par les autorités grecques lors de leur enregistrement sur l’île de Lesbos], ils ont droit de se déplacer librement dans le pays mais nous savons qu’ils sont venus pour trouver des passeurs qui les aideront à traverser de nuit le fleuve frontalier d’Evros pour passer en Turquie ». Le niveau du fleuve le long de la frontière gréco-turque étant actuellement assez bas, « certaines personnes utilisent des barques mais par endroits on peut même traverser à pied » affirme le président des garde-frontières de la région d’Evros.
Comme eux, des dizaines d’envahisseurs arrivent chaque jour à la gare de Didymoticho ces dernières semaines. Certains possèdent même des documents de réfugiés allemands, et seraient donc revenus d’Allemagne, déçus de ne pouvoir s’y intégrer. Néanmoins le flux inverse, c’est-à-dire de la Turquie vers la Grèce, a également repris ces derniers mois, et la police a été contrainte de renforcer sa présence à la frontière terrestre gréco-turque…
Situation ubuesque créée par des dirigeants de l’Union européenne tels qu’Angela Merkel et Alexis Tsipras qui oscillent entre la lâcheté et la complicité face à l’invasion ! On peut quand même observer que les frontières, lorsqu’elles existent encore ou ont été relevées, jouent leur rôle.
Monde
États-Unis : violente émeute de colons africains attaquant des étudiants blancs
Après les injures et discriminations contre des étudiants blancs de l’université de Berkelay, ce sont ceux de l’université temple de Philadelphie qui ont subi de violentes agressions racistes. La police a été appelé vendredi 21 octobre dernier quand une foule d’adolescents et jeunes colons d’origine africaine ont investi le campus de l’université Temple et ses alentours. Il faut dire que cette université fréquentée majoritairement par des Blancs a été implantée au milieu d’un quartier peuplé de descendants des populations importés d’Afrique. Les médiats rapportent que les jeunes émeutiers racistes ont communiqué et organisé leurs assauts à partir de certains réseaux sociaux. Mais contrairement à l’affirmation que les agressions étaient gratuites, le profil des victimes prouvent sans l’ombre d’un doute le caractère haineux antiblancs des émeutiers : seuls les étudiants et passants blancs du quartier et du campus ont été agressés, frappés, dépouillés par une horde de plusieurs centaines de jeunes Noirs.
Des émeutiers ont également attaqué un officier de police à vélo de l’université et un cheval de la police de Philadelphie. Il a fallu les efforts conjoints de 3 services de maintien de police pour rétablir l’ordre : la police de la ville de Philadelphie, la police de l’université de temple et la police de la route de la Pensylvanie du Sud.
Selon le dernier bilan, 6 étudiants et un officier de police ont été blessé. Le témoignage du père d’une des victimes, l’étudiante Christina Lauletta, fait froid dans le dos quant au niveau de violence des Noirs déchaînés : assailli avec ses amis par un groupe d’une trentaine de Noirs, plusieurs d’entre eux ont plaquée et maintenue la jeune femme au sol au milieu de la rue pendant que d’autres lui sautaient dessus et la piétinaient…
Une cinquantaine de ces barbares ont été arrêtés mais seuls quatre ont fait l’objet de poursuites. Quant aux responsables de l’université, ils ont été mis en cause par les victimes pour avoir attendu plus de deux heures après le début des premières agressions avant de lancer des alertes à leurs étudiants et de les confiner à l’abri dans les locaux de l’université. Sans doute par peur d’être accusé de racisme en venant en aide à des Blancs…
La diversité et le vivre-ensemble ne semblent pas très au point dans ce pays ayant aboli la ségrégation contre les Noirs il y a des dizaines d’années et ayant pratiqué la discrimination positive en leur faveur pendant plusieurs dizaines d’autres…
Vidéo :
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=sJrbToC7yao[/youtube]
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=4WOwSYTNB04[/youtube]
Vidéo
Vincent Reynouard – De la Terre plate aux « chambres à gaz » (vidéo 3/3)
Dans cette vidéo, Vincent Reynouard évoque la terrible épidémie de typhus qui sévit à partir de l’automne 1941 en Pologne, dans la Baltique et en Russie Blanche. Se fondant sur des documents d’époque, il démontre que pour combattre le mal, les Allemand érigèrent de nombreux centres d’épouillage, fixes ou mobiles. Les « appareils de gazages » mentionnés dans le document NO-365 (qui impliquait Viktor Brack) n’étaient pas des « chambres à gaz » homicides mais des installations sanitaires à construire d’urgence pour lutter contre le typhus.
- Reynouard explique ensuite pourquoi, à son procès, Viktor Brack ne s’est pas clairement expliqué sur ce projet. En 1945, les Alliés ne voulaient pas se contenter d’une victoire militaire : ils voulaient aussi une victoire idéologique. Dans un article paru le 6 juin 1945, sous le titre : « La rééducation est essentielle », un auteur expliquait : « à l’occupation physique de l’Allemagne, nous devons ajouter l’occupation de l’esprit allemand par la propagande. En la matière, la vraie guerre contre le nazisme vient juste de commencer. Nous n’avons pas qu’à rééduquer, il faut aussi désodoriser sur le plan intellectuel. » V. Reynouard revient sur ce que furent ces « procès » d’après-guerre organisés sous un déluge de propagande et dont les règles de procédures paralysaient la libre défense des accusés : pour pouvoir espérer sauver leur tête, les prévenus n’avaient pas le choix, ils devaient cautionner la propagande alliée.
https://www.youtube.com/watch?v=pznUJeKz2ek
Ephéméride nationaliste
31 octobre 1989 : assassinat de Françoise Combier (biographie)
Agenda
6 novembre 2016 – Toulouse – Colloque de Jeune Nation
Sur le thème : « Mémoire des luttes anticommunistes : au temps des chemises ! »
13 h : ouverture des portes et buffet (25€)
15 h : stands et orateurs de plusieurs délégations européennes (PAF min 10 €)
18 h : clôture par l’allocution d’Yvan Benedetti
Renseignements et inscriptions : 07.89.39.82.74
© Jeune nation – 2016
Comte Henri de Bergh, 1624-1629, Antoine van Dyck
(Musée du Prado – Madrid)