Le chocolatier Ferrero est la dernière en date des victimes du racisme anti-Blanc instauré depuis 65 ans par les ennemis de l’Europe. Une vaste campagne de haine est organisée pour dénoncer le prétendu « racisme » de la marque par diverses organisations juives ou anti-allemandes, relayées complaisamment par les médiats aux ordres.
Le « crime » de Ferrero ? Une campagne publicitaire lancée à l’occasion des élections fédérales en Allemagne et reprenant le slogan de campagne de Barack Obama : « Yes we can ». Mais la censure veille : on peut se moquer des blondes et les insulter, on peut organiser impunément le génocide des Blancs, mais pas question de laisser se développer un humour qui montrerait le blanc comme une chose positive et saine.
Le malheur de Ferrero est d’avoir fait la publicité d’un nouveau produit à base de chocolat blanc, baptisés « Küsschen » (« petits baisers »). Pour cela, la marque a caricaturé une campagne électorale, utilisant des slogans comme « Yes weiss can » ou « l’Allemagne vote blanc » alors que sur l’estrade de chocolat harangue la foule : « Nous voulons des Ferrero blancs pour toujours ».
La campagne de délation a porté ses fruits et Ferrero a retiré la publicité immédiatement, l’occupant obligeant de surcroît la marque à une séance d’autoflagellation : « Il est important pour nous de souligner clairement que nous sommes strictement opposés à toute forme de xénophobie, extrémisme de droite ou de racisme […] ».
La prochaine étape – dans l’attente de faire disparaître les Blancs – sera-t-elle l’interdiction du chocolat blanc ?
Antiracisme est un nom de code pour anti-blanc.
Et laïque pour antichrétien, anticatholique, surtout.
Si Mustapha Kemal dit Atatürk est si apprécié de l’Intelligentsia-Nomenklatura, c’est pour son “laïcisme”, c’est à dire pour avoir vidé l’Anatolie de toute présence bimillénaire chrétienne ou presque, de sa population grecque trimillénaire. La laïcité qu’aime la maçonnerie.