Après l’inversion accusatoire – intrinsèque au Système de l’anti-France – la justice bananière consacre carrément l’inversion judiciaire, qui transforme les victimes en coupables et qui relaxe les délinquants, surtout s’ils jouent le jeu de la République en s’attaquant à des symboles de la continuité historique de la France.
Une nouvelle illustration de ces contre-principes nous est donnée avec le jugement rendu dans l’affaire des dégradations sur une cloche de la cathédrale Notre-Dame de Paris par les prostituées du groupe d’occupation multiethnique « FEMEN ».
Finance apatride et marxisme culturel veulent détruire les peuples d’Europe
Le libéral devenu un peu trop patriote au goût de certains (toujours les mêmes) – Silvio Berlusconi, qui a récemment permis à Alessandra Mussolini d’être réélue au Parlement européen, en l’accueillant au sein de sa coalition politique – fut victime d’un coup d’État de la part d’un agent du tentacule Goldman Sachs (la pieuvre en a d’autres) – Mario Monti, devenu président du Conseil italien sans jamais avoir été élu par le peuple italien.
À la même époque, le Pape Benoît XVI – insoumis aux coteries de la globalisation financière avait renoncé à son ministère suprême. Comme par magie, cette annonce avait permis à la Banque d’Italie de rouvrir immédiatement le circuit des paiements par carte bleue au Vatican.
Cette démission papale avait semble-t-il également réjoui le propriétaire des FEMEN, dont certaines ont une carte de presse de complaisance de l’Associated Press sous de faux noms, agence de presse dont fut très proche le spéculateur financier Georges Schwartz dit « Soros ». Ce dernier qui n’a quitté sa Hongrie natale pour l’Angleterre qu’en 1947, alors que « juif non-pratiquant » (sic), il était en relation directe avec une autorité rabbinique officielle de son voisinage durant la Seconde Guerre mondiale].
Donc, de même qu’elles avaient manifesté dépoitraillées (et craché au visage des policiers) en Italie contre Berlusconi lorsqu’il commençait enfin à regretter le remplacement de la lire italienne par l’euro, de même neuf de ces hystériques impudiques avaient, pour « fêter » l’annonce du renoncement du Pape d’alors, abîmé une cloche de la Cathédrale parisienne dans leur posture obscène habituelle, trois surveillants intervenant pour arrêter les dégâts et maîtriser ces sorcières qui terrorisaient les enfants.
Cette « justice » conforme à la logique de leur république doit nous renforcer
Un républicain de base aurait donc pu s’attendre à ce que les responsables des dégradations (délit) soient punies, de même pour le trouble à l’ordre public – dont la simple évocation fantasmagorique conduit à interdire tant d’activités patriotiques ! – ou encore l’exhibitionnisme et même le blasphème qui s’appelle parfois « islamophobie » et plus souvent « antisémitisme », mais jamais autrement dans leur République.
Les « FEMEN » ont été relaxées, à la grande joie de leur avocat – maître Michaël Ghnassia (leur ancien avocat, également juif, l’extrémiste antifrançais Patrick Klugman étant désormais adjoint à la Mairie de paris) – et de la chef de meute – la délinquante ukrainienne Inna Shevchenko – à qui la gauche a accordé un passeport français et qui était hébergée, il fut un temps, au domicile de Caroline Fourest et de sa concubine.
Christine Boutin, opposante très modérée face à ce Système de la pourriture organisée, s’est dite « stupéfaite », ajoutant à juste titre que c’est « le monde à l’envers » et « un acte d’encouragement pour ceux qui commettent ces violences ». Mais là où elle a tort, c’est de dire que ça découragerait les victimes de ce genre d’action. En effet, face à l’adversité ne faut-il pas s’organiser, serrer les rangs et faire front en toute circonstance jusqu’à la victoire ?