Selon l’organisme antifrançais CRIJF (Conseil représentatif (sic) des institutions juives en France), le nombre d’actes antisémites aurait très fortement augmenté. Une lamentation comme la France en connaît depuis plusieurs décennies, répétée chaque année, parfois plusieurs fois par an.
Le CRIJF affirme que les « actes » (un mauvais regard ou un crachat à moins d’un mètre d’un juif est considéré comme une « agression antisémite », comme les simples « menaces ») auraient « presque doublé » sur les sept premiers mois de l’année 2014 (+91 %). Le CRIJF, alors que les Français subissent chaque année environ trois millions de – véritables – crimes et délits, ose parler de « phénomène de masse » alors qu’il s’agit de moins de 600 actes au total. Selon ces chiffres – établis par l’organisme extrémiste juif SPCJ (Service de protection de la communauté juive), dépendant du CRIJF, sans aucun contrôle extérieur neutre et objectif –, il s’agirait de cinq cent vingt-sept « actes ». Cela représente moins de 0,02 % de la totalité des crimes et délits en France commis chaque année. Ce pourcentage rappelle combien la communauté juive, comme la communauté musulmane dans une moindre mesure, est très largement surprotégée au détriment des Français.