François Hollande, nous l’avons souligné, refuse désormais tout contact avec la population française, limitant ses déplacements publics aux occupants ou aux oligarques et autres bobos ; il était d’ailleurs encore samedi présent au musée Picasso pour « fêter » la « réouverture » de lieux. Il en d’ailleurs profité pour attaquer une nouvelle fois le repos hebdomadaire en affirmant qu’il fallait que les musées soient ouverts tous les jours de la semaine en France, en attendait d’obliger les employés à être disponibles aussi la nuit pour satisfaire les besoins de consommation de l’oligarchie.
Dimanche n’a pas fait exception : protégé par un important dispositif de sécurité, il est allé féliciter à Dijon Bruno Le Roux pour sa réélection à la tête d’une association de gauche, la Fédération Léo Lagrange (FLL). Bruno Le Roux est également président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale. La Fédération Léo Lagrange, c’est avant tout un important business, avec plusieurs milliers de salariés pour seulement quelques dizaines de milliers d’adhérents. Elle a d’ailleurs été fondée par Pierre Mauroy, convaincu de corruption.
En guise d’introduction, François Hollande n’a pas manqué de rappeler la politisation extrême de la FLL, en évoquant « la loyauté à l’égard d’un gouvernement que vous soutenez, d’un président que vous avez toujours soutenu ». C’est la première fois qu’un président de leur République se rendait à une réunion aussi insignifiante et aussi politisée.
François Hollande a revendiqué sans la nommer la mise en place de la politique de génocide des Blancs :
« Ceux qui pensent que la France doit être forcément tourmentée et nostalgique, qui pensent que c’était mieux avant. […] Le débat public a pris ces dernières années, peut-être même ces derniers mois, un tour nouveau. Il ne faut pas imaginer que nous allons faire la France de demain à l’image de celle d’hier. »
Incapable d’assurer l’unité de son propre gouvernement, incapable de s’opposer à l’implosion du Parti socialiste (PS), François Hollande a évoqué dans un discours une prétendue « unité ».
« C’est toujours un combat difficile l’unité, pas simplement dans les groupes politiques ou dans les partis »
a-t-il déclaré, avant d’oser poursuivre, lui qui, en favorisant l’invasion, les revendications communautaristes juives, islamistes, en attaquant l’unité de la France par ses trahisons européistes, par ses politiques ruinant les fondements du pays, la famille, le travail, l’armée :
« Ce que doit rechercher un président de la République, c’est l’unité du pays, alors que nous sommes dans un moment où tout est fragmenté, tout est divisé, tout est séparé, tout est exacerbé. Donc ma tâche, mon rôle, mon devoir, c’est de réunir, de faire comprendre que nous sommes tous ensemble, que nous avons besoin de destin commun, de bien commun, de lien commun et de sens commun pour vivre ensemble. C’est ça, le message de la République. »
Ajoutant la lâcheté au mensonge, il a refusé de répondre aux questions sur le chômage qui son plus haut niveau dans l’histoire de France.