Ancien maire du Taillan-Médoc et ancien premier secrétaire de la fédération de Gironde, Ludovic Freygefond a été très légèrement condamné à dix-huit mois de prison avec sursis et cinq ans d’inéligibilité. Le tribunal correctionnel de Bordeaux a également fait saisir sa maison. La justice l’a reconnu coupable de prise illégale d’intérêt et corruption passive pour avoir abusé et profité de sa position de maire pour la construction d’un lotissement dans lequel il avait fait construire sa propre maison. Un promoteur immobilier a également été condamné tout aussi légèrement pour corruption active à douze mois de prison avec sursis et 10 000 euros d’amende avec sursis.
Cette absence de peines applicables est à comparer avec les sanctions fermes considérables prononcées, par exemple, contre la patriote Anne-Sophie Leclère. Elle n’avait été « coupable » d’aucune prise illégale d’intérêt – bénéficier de sa position d’élu pour obtenir des avantages personnels –, mais d’avoir simplement laissé une suggestion caricaturale de la ministre de Cayenne sur le mur de sa page d’un réseau social durant quelques jours. Ce fait avait été instrumentalisé par les médiats aux ordres du Système, jouant pour la circonstance le rôle de commissaires politiques de leur République avant que Christiane Taubira n’en fasse une affaire nationale évoquée jusqu’au Parlement – qui n’évoque pas les meurtres ou viols commis chaque jour par les étrangers contre les Français.
Il a fallu la plainte d’un opposant politique pour que la justice enquête sur ces faits. Au tribunal, son avocat avait précisé : « il y a eu des erreurs, pas de fautes pénales [sic] ». Ce fut le début d’une juste descente aux enfers pour Ludovic Freygefond : battu aux municipales après deux mandats en mars 2014, il a été mis en garde à vue en mai, renvoyé devant le tribunal correctionnel en juin ; il a fini par se mettre en retrait du PS à la fin du mois et a été l’objet d’une nouvelle plainte, émanant de la mairie cette fois.
Homosexualiste militant, Ludovic Freygefond s’était fortement engagé pour la destruction du mariage par son ouverture aux déviants sexuels.
Désormais, Ludovic Freygefond doit perdre son poste de vice-président à la région Aquitaine et les mêmes fonctions à la Communauté urbaine de Bordeaux, où il siège aux côtés d’un autre corrompu condamné, rallié dernièrement à l’homosexualisme militant, Alain Juppé. Le Parti socialiste n’a pas réagi à l’annonce de cette condamnation. Il est donc impossible de savoir si sa « mise en retrait » de la fédération du PS se transformera en exclusion. Il n’est pas certain que le multi-corrompu Jean-Christophe Cambadélis, actuellement à la tête du PS, insiste pour qu’il quitte le parti d’Harlem Désir, Jean-Pierre Kucheida, Line Cohen-Solal, etc.
Après cette affaire de corruption financière, Ludovic Freygefond devra revenir devant la justice pour une affaire, de corruption morale cette fois. Son ancien directeur de cabinet, le jeune Alexandre Metzinger, a dénoncé le harcèlement sexuel dont il a été victime. Contre la promesse d’une place éligible aux élections municipales, Ludovic Freygefond aurait demandé à son collaborateur de lui accorder des faveurs homosexuelles…