Otto Skorzeny (12 juin 1908, Vienne – 6 juillet 1975, Madrid) est un officier de commando allemand surtout connu pour ses missions audacieuses réalisées lors de la Seconde Guerre mondiale pour l’Allemagne nazie, souvent sur ordre direct d’Adolf Hitler. Il a été surnommé l’Homme le plus dangereux d’Europe.
Durant l’été 1943, il reçoit comme consigne, d’Adolf Hitler en personne, de retrouver Benito Mussolini, alors emprisonné en Italie, et de le libérer. Dans le cadre de l’opération Eiche, il mène alors une enquête de terrain qui lui permet de repérer l’endroit secret où est emprisonné le Duce et organise secrètement sa libération.
Le 12 septembre 1943 à 14h00 (7 heures après l’heure prévue), il délivre Mussolini de sa prison au sommet du Gran Sasso en Italie alors que ce dernier est emprisonné et surveillé par plusieurs soldats italiens qui ont reçu l’ordre de l’exécuter en cas de tentative d’évasion. Ceux-ci ne font pourtant rien pour l’en empêcher.
La réussite de cette opération aéroportée est due à l’effet de surprise, mais aussi aux capacités techniques du Fieseler Fi 156 « Storch », un avion capable de décoller en moins de 70 m et de se poser en moins de 20 m, avec lequel Mussolini s’échappa avec lui, laissant sur place une vingtaine de soldats allemands du Kommando Skorzeny aux ordres de son adjoint Karl Radl.
Zuckerman triomphe, Churchill n’a plus qu’a s’incliner : le « Transportation Plan » s’abat sur la France, faisant plusieurs dizaines de milliers de victimes civiles.
http://www.e-sorbonne.fr/content/solly-zuckerman-l-etude-primates-l-art-guerre-jean-charles-foucrier
https://fr.wikipedia.org/wiki/Solly_Zuckerman
Parmi les 600 ouvrages de cette rentrée littéraire 2017, nombre abordent la Seconde Guerre mondiale et l’occupation.
http://www.lepoint.fr/livres/lectures-de-rentree-1-nazisme-et-litterature-20-08-2017-2151093_37.php
Bernard Pivot de l’Academie Goncourt presente le futur prix Goncourt, « Un certain M. Piekielny », digression autour de Roman Kacew (alias Romain Gary, alias Emile Ajar, double prix Goncourt) : « les soixante mille juifs de Wilno ont presque tous fini une balle allemande dans la nuque ou jetes dans les fours crematoires. »
http://www.lejdd.fr/culture/livres/les-carabistouilles-de-romain-gary-la-chronique-de-bernard-pivot-3415250