Le principal acteur du combat révisionniste en France Robert Faurisson est à nouveau la cible des menées antifrançaises. Après les attaques menées par le criminel juif Gregory Chelli ces derniers mois, c’est la justice d’occupation qui se fait le bras armé de la Ligue contre [le racisme et] et l’antisémitisme (LIC[R]A). Cet organisme étranger a porté plainte à Strasbourg après la parution de deux articles concernant le camp de Struthof-Natzweiler : « Il est temps d’en finir avec la « chambre à gaz » du Struthof et ses 86 « gazés » » et « Note sur la prétendue chambre à gaz homicide du Struthof » sur un site dénommé « Robert Faurisson. Le Blog Inofficiel/ The Unofficial Blog ».
Le parquet de Strasbourg avait transmis l’affaire au parquet de Cusset, dans la banlieue de Vichy, où une juge d’instruction avait été chargée à son tour d’une enquête.
Elle a missionné deux officiers de la police judiciaire le 19 novembre 2014 pour perquisitionner – ce fut la cinquième – le domicile du professeur Robert Faurisson. Ils avaient pour objectif de lui prendre son ordinateur et des documents – moins pour y recueillir des preuves que pour l’empêcher de travailler et le harceler, mais n’ont finalement trouvé ni l’un ni l’autre. Le commandant de police a fait savoir que « visite » serait suivie par d’autres.
« L’épouse du professeur, âgée de 82 ans et cardiaque, supporte mal cet état de fait. Elle s’inquiète pour la santé de son mari, récemment victime d’un infarctus, victime également de dix agressions physiques (sans qu’aucune recherche sérieuse des agresseurs ait suivi) et âgé de près de 86 ans. En particulier, elle s’est émue de ce que l’un de ses petits-fils, hébergé ce jour-là au domicile de ses grands-parents, étudiant âgé de 22 ans, avait dû répondre à un interrogatoire, produire son propre ordinateur et signer un procès-verbal »
a fait savoir le professeur Faurisson dans un communiqué.