Le 30 mars 2014, en fin de soirée, une jeune Blanche a été sauvagement attaquée par quatre criminels Afro-Maghrébins. Ces derniers, l’abreuvant d’injures racistes, l’ont violé, en réunion, accompagnant leurs crimes de tortures. Ce crime abominable s’était déroulé dans les rues d’Évry, la ville dont Manuel Valls était encore le maire pour quelques heures. Le lendemain, la France apprenait sa nomination au poste de premier ministre.
Interpellé par des médiats nationaux et des citoyens dans les jours puis dans les semaines qui suivirent, Manuel Valls a refusé de s’exprimer sur ce crime ignoble : la vie des Blancs n’intéresse pas celui qui n’est « lié éternellement » qu’à Israël, qui n’a « d’engagement absolu » que pour le petit État criminel du Levant.
En plus du racisme des occupants, la jeune victime d’Évry, dont la vie a été brisée à 18 ans, devait subir en plus le racisme antiblanc de l’État PS.
À l’inverse, Manuel Valls a tenu à réagir publiquement dans une affaire présumée d’agression contre deux Juifs à Créteil.
« L’horreur de Créteil est la démonstration immonde que la lutte contre l’antisémitisme est un combat de tous les jours. Soutien à la famille »
s’est-il lamenté sur Twitter.
La famille de la victime du viol raciste antiblanc d’Évry n’a pas eu droit, elle, au soutien public de celui qui était pourtant son maire en plus d’être son premier ministre. Le racisme – bien réel celui-là – contre les Blancs – qui eux, sont chez eux – n’est non seulement pas combattu tous les jours par Manuel Valls, mais au contraire encouragé, par lui, par ses préfets organisant la répression contre les nationalistes et favorisant le laxisme pour les criminels étrangers, par ses ministres citant des appels au meurtre contre les policiers, par ses députés.
Dans cette affaire de cambriolage présumé qui aurait été accompagné d’un viol, deux des participants ont été arrêtés, ainsi qu’un homme sans véritable lien avec l’histoire ; seul un complice a pu échapper aux polices de France totalement mobilisée sur cette affaire. En moins de 24 heures, les policiers puis les juges ont identifié, retrouvé, interpellé, placé en garde à vue, déféré, mis en examen et emprisonné les trois criminels. Les « antisémites » qui auraient commis les faits s’appellent Ladji, Yacine et Omar.
Du seul fait de la revendication de la judéité des victimes, l’ensemble de la presse serve a fait de ce fait divers un drame national. Tous les politiciens ont été contraints à verser publiquement une larme, eux qui n’ont que mépris et indifférence pour le sort de millions de Blancs abandonnés aux criminels étrangers.
Pressé par ses maîtres, François Hollande, qui n’a jamais eu le moindre mot pour les victimes du racisme antiblanc, ni pour Christophe Rambour torturé durant plusieurs semaines puis massacré, ni pour Anne-Lorraine tué en défendant sa vie et son honneur, pas plus que pour Marion, massacrée de 38 coups de couteau, ni pour aucun autre enfant de notre peuple, s’est également longuement exprimé sur le fait divers prétendument « antisémite » de Créteil.
« Le pire existe, le mal traverse nos sociétés. Il y a encore quelques jours, une famille dans une ville de France, a été agressée parce qu’elle était juive. Parce qu’elle était supposée être riche, parce qu’elle était juive. Dans une ville de la banlieue parisienne… Quand il se passe de tels drames, de telles tragédies, ce n’est pas la famille simplement qui est blessée et agressée. C’est ce que la France porte de plus grand, de meilleur, qui se trouve blessé et abîme.
Nous devons donc aussi susciter un engagement dans la lutte contre le racisme, contre l’antisémitisme et contre les discriminations. Ne rien laisser passer. Ne pas faire comme si nous n’avions rien vu. Mais, au contraire, tout voir, tout connaître, pour que plus rien ne puisse être accepté. Cette forme de violence est d’autant plus insupportable qu’elle vise à diviser. »
a-t-il déclaré.
Ainsi, selon le chef de leur République d’occupation, quand des Français sont tués en France, il faut cacher l’information, s’en moquer, mépriser les victimes et leurs familles, mais quand deux étrangers juifs ne sont l’objet que d’une agression, c’est toute la France qui serait « abîmée » et tous les moyens sont mis en œuvre pour retrouver les coupables et aider les victimes présumées.
Bernard Cazeneuve, leur ministre de l’Intérieur en charge de protéger l’avant-garde de leur République, était déjà intervenu personnellement pour rappeler qu’en France, les Français sont des citoyens de seconde zone et que leur vie doit s’effacer devant les intérêts d’Israël :
« J’ai demandé aux préfets, quand il y a des actes antisémites, homophobes, islamophobes, quand ils se produisent sur le territoire de leur ressort, de porter plainte auprès du procureur de la République au titre de l’article 40. Ils le font désormais systématiquement »
Lui aussi s’était tu quand une jeune Blanche de 18 ans a été violée et torturée à Évry par quatre criminels étrangers.
Les juif sont autant victimes que nous. Les élites juives instrumentalisent les membres de leur communauté en omettant pernicieusement qu’ils sont agressé par les mêmes qui violent et tuent les enfants de notre patrie, catholiques, blancs et chrétiens. Ces agresseurs sont des afro-maghrébins pour la plupart du temps, pensée pour toutes les victimes du multiculturalisme.
Pauvre France