Faouzi Lamdaoui est-il le chef d’un système de corruption généralisée autour de François Hollande ?
Un pourvoyeur de salariés « pas cher, c’est l’État qui paie »*
Devenu officiellement conseiller élyséen de leur président François Hollande, Faouzi Lamdaoui a récemment démissionné, car la justice l’a enfin – les faits ont débuté en 2007 ! – cité à comparaître pour abus de biens sociaux et faux et usage de faux, dans une affaire qui inclut des détournements de fonds public, entre activistes étrangers du clan Hollande, au bénéfice des chefs de cette équipe corrompue.
Le chauffeur, Mohamed Belaïd, engagé par Lamdaoui, était utilisé exclusivement pour conduire François Hollande un peu partout. Mais il n’avait pas de contrat de travail. En effet, il était question de lui fournir un emploi fictif rémunéré par… le conseil général du Val d’Oise : aux frais des contribuables pour éviter que François Hollande ne paie, avec tout ce qu’il volait déjà à la France comme élu, son propre chauffeur privé !
(Le scooter, c’était pour la photo bobo-écolo, puis ce fut pour visiter la maîtresse de la rue du Cirque.)
Le Système politico-médiatique a tenté de profiter de la lenteur de leur justice
Ayant déposé plusieurs plaintes et mains courantes, l’intéressé déclare avoir été l’objet de propositions financières par des journalistes du Système et par une socialiste du communautarisme musulman, Sihem Souid, pour retirer au moins une plainte contre Lamdaoui.
En effet, selon des propos du plaignant, relayés par l’hebdomadaire Valeurs actuelles, Sihem Souid, aurait déclaré :
« Tu auras tout ce que tu veux si tu enlèves ta plainte. Parce que Faouzi Lamdaoui, on a besoin de lui. Il représente notre communauté. »
Se replaçant dans le contexte d’alors, M. Bélaïd ajoute :
« Les intermédiaires se disent prêts à monter jusqu’à 35 000 euros pour que je retire ma plainte »
Le PS antifrontière, en soutien d’étrangers de l’anti-France
Sihem Souid, médiatrice entre deux de ses congénères au cœur de ce système d’affairisme politicien, est la même que soutient Benoît Hamon et tout le PS des corrompus, violeurs et proxénètes laissés en liberté par la justice de leur République. Le motif de leur entente est qu’elle a écrit un livre à charge contre ses anciens collègues de la police de l’air et des frontières (PAF), dans lequel elle les accuse, pêle-mêle, de « racisme, sexisme, homophobie… » et autres prétendues « discriminations », violant, au passage, le secret professionnel auquel un agent de la PAF est tenu.
L’ex-ministre d’on ne sait plus trop quoi, Benoît Hamon, ancien porte-parole du PS, qui se plaignait, en janvier 2011, de « la stigmatisation de l’islam », avait repris les accusations de Sihoud et violemment attaqué l’institution qui a surtout le tort, aux yeux des mondialistes, de maintenir un peu de contrôles à certaines de nos frontières, aux aéroports, en particulier, où les personnes contrôlées, sont déjà, hélas, sur notre territoire.
Il a ainsi écrit en mai 2011, à propos d’un sujet qu’il ne connaissait pas particulièrement :
« En niant la réalité [sic] des discriminations et en répondant uniquement par la discipline, l’ancien secrétaire général de l’Élysée rate une occasion de réconcilier les français [sic et sans majuscule à Français] avec une institution dont l’impartialité est régulièrement remise en cause, tant elle a été maltraitée et instrumentalisée par le pouvoir à des fins électoralistes. »
C’est pourtant bien le travail de la PAF que de « discriminer », parmi les voyageurs internationaux, ceux qui tentent d’importer leurs trafics en France, afin de les en empêcher !
Chacun aura également noté que les derniers mots employés – l’instrumentalisation de la PAF à des fins électoralistes – s’appliqueraient tout aussi bien à la démarche politicarde de Mme Sihoud et de M. Hamon, qu’on entend moins aujourd’hui, à propos des turpitudes financières leur président et de tous les corrompus de son entourage, contraints de démissionner les uns après les autres !
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* « C’est pas cher, c’est l’État qui paie » est une phrase récente et symptomatique de l’apparatchik et faiseur de dettes publiques à la charge des Français, François Hollande. Président de son conseil général, il a déjà, par le passé, ruiné le département de la Corrèze – d’où le soutien indéfectible qu’il reçut de la part de l’affabulateur corrézien Jacques Chirac ?