Noël de l’immigration
Pour les « fêtes d’hiver », comme pour le 14 juillet, comme pour la fête de l’invasion de l’Europe, comme pour hanoukka et le ramadan, pas d’exception pour François Hollande, qui rappelle à chaque occasion combien il déteste les petits Français et vénère les étrangers, seuls « dignes » de figurer sur les photos à ses côtés…
Après ses apparitions en banlieues en différentes occasions, à l’Institut du monde arabe, au théâtre de Djamel Debouzze, dans les collèges de cités occupées, après les « garden party » de l’Élysée, François Hollande poursuit ses visites auprès uniquement des enfants non français. Les rares contacts qu’il a eus avec ces derniers – les enfants français – ce fut quand il ordonnait à Valls de lâcher ses chiens et de les faire matraquer et de les gazer.
Pour les autres, il a visiblement de plus grands projets : c’est avec eux qu’il posait samedi fièrement.
Musée de l’immigration
Sans crainte du ridicule et comme s’il n’y avait rien de plus urgent, François Hollande va « inaugurer » ce lundi un musée, sept années (!) après son ouverture. Il faut dire qu’il ne s’agit pas de n’importe quel musée, mais du « musée de l’immigration ». Cet organisme a été créé par Jacques Chirac et Nicolas Sárközy durant les années 2000 avec une claire volonté antifrançaise, pour justifier le génocide des Blancs sur leur propre terre.
Depuis cet été, c’est d’ailleurs l’extrémiste juif Benjamin Stora qui en préside le « conseil d’orientation ». Le projet est d’autant plus clair qu’il est inscrit dans les statuts : il ne s’agit pas de raconter ce qui a été ou ce qui est, mais de « faire évoluer les regards et les mentalités sur l’immigration ». Comme au temps de l’Union soviétique, il s’agit de trafiquer la réalité pour qu’elle colle au discours officiel. Une sorte de « réalisme immigrationniste », où l’histoire est considérée comme un moyen d’imposer le discours officiel bien-pensant, comme hier le « réalisme socialiste » servait aux artistes soviétiques à justifier les crimes du marxisme…
Le pouvoir ne se cache pas de vouloir manipuler, endoctriner, laver le cerveau de la population. Le « musée » – centre de rééducation serait un terme plus convenable – devient d’ailleurs l’un des passages obligés des petits écoliers français en visite à Paris, entre un tour au mémorial de la “Shoah” et une exposition sur l’esclavage : l’histoire de France occupée…
Le musée ne vit d’ailleurs que pour cela : en 2009, seules 20 % des entrées ont été payées, signe de l’échec total du concept. La grande majorité des visiteurs sont des élèves, conduits par ces professeurs qui constitueront le dernier wagon d’électeurs du Parti socialiste.
Haine de la France et des Français, communautarisme, échec et gouffre financier : les lieux semblent un résumé du hollandisme ; à tel point que le musée a été qualifié par un historien – du système – de « musée fantôme à la dérive ». Une définition qui va parfaitement à François Hollande, président fantôme à la dérive…