Le 26 février 2011, à Toulouse, Jérémy Roze croisait la route de deux criminels étrangers, Icham Ouaki et Driss Arab. Sûrs de leur impunité, les deux racistes antiblancs se lançaient dans une nouvelle agression violente, comme ils en avaient déjà commis de très nombreux autres avec l’assentiment, tacite ou assumé, de la République et de son président d’alors, Nicolas Sárközy.
Icham Ouaki était en liberté, conformément aux ordres laxistes de Nicolas Sárközy et de Michèle Alliot-Marie, alors ministre de la Justice à la suite de Rachida Dati, malgré de multiples condamnations pour des faits très graves. Pire encore : l’étranger, à défaut d’être exécuté en place publique, aurait pu être a minima expulsé de France. Mais Nicolas Sárközy, en 2003, a aboli la prétendue « double peine », consistant à obliger les Français à subir sur leur propre territoire des criminels condamnés qui, jusqu’ici, pouvaient – ils l’étaient très rarement – être expulsés.
Depuis Nicolas Sárközy, la double, la triple, la centuple peine, ce sont les Français qui la subissent, encore et encore. Et pour Jérémy Roze, elle signifia la mort, ce soir de février 2011, quand les deux tueurs étrangers l’agressent. Le jeune Français, étudiant en pharmacie sans histoire, reçoit alors un coup de couteau extrêmement violent. Il ne s’en relèvera jamais.
L’agression était totalement gratuite ; les deux tueurs n’ont donné aucune véritable explication concernant leur geste. Ce n’était apparemment pas le vol, puisque la victime fut retrouvée avec ses affaires. Ni les enquêteurs, ni le parquet, ni les juges n’ont réellement cherché à en savoir plus. Tuer un Blanc par simple haine raciale semble une explication suffisante et justifiée en France occupée. Selon le témoignage de « Julie », Icham Ouaki aurait avoué l’avoir tué « pour une cigarette » ; d’autres commentaires font état de tentatives de vols d’objets de valeur. Driss Arab a finalement avoué que son complice lui avait dit, avant de partir en chasse :
« On va se faire un yankee. »
Tuer un Blanc. Une pensée simple, justifiée mille fois par jour dans les médiats. Un geste simple pour Icham Ouaki, dont les médiats, les politiciens, par leurs incessantes campagnes de haine contre les Blancs ont armé le bras. Voler, agresser, poignarder un Blanc – toujours en surnombre, dans un endroit choisi et armé – n’est rien d’autre pour ces malades qu’un juste combat contre des « privilégiés », ces Blancs qui, en plus, narguent les « victimes » eux qui, à force de travail, de courage, arrivent à trouver un métier, à fonder une famille, à vivre dignement sans voler, sans racketter, sans piller, sans taguer, sans insulter.
Ce 26 février 2011, Jérémy Roze est mort, mais les deux Arabes poursuivent leur route comme si de rien était. Et peu après, ils agressent à nouveau, toujours en toute impunité, et sans le moindre remord.
L’avocat général avait réclamé 30 ans de réclusion contre Icham Ouakki, 15 ans contre Driss Arab, prétendant faire la distinction entre les deux criminels, alors que les deux ont refusé d’avouer et de dire la vérité aux parents de la victime. Ils écopent de la réclusion criminelle à perpétuité pour le premier, de 20 ans de prison pour le second.
Magdoub Ferouh, un autre complice qui a participé avec ses deux congénères à d’autres agressions selon des témoins, qui était accusé d’avoir fait disparaître l’arme du crime, n’avait pas daigné se présenter au tribunal. Il en a été récompensé par un acquittement. La double peine n’est toujours que pour les Français.