Il y a eu en 2014 plus de 2 800 cas de séquestrations recensés en France, un chiffre en augmentation de 25 % en une seule année. Cela représente quasiment huit crimes de ce type, particulièrement violents et traumatisants – pour ceux qui y survivent – par jour. Ces faits sont régulièrement accompagnés de menaces, de coups, de tortures et s’achèvent parfois par l’assassinat de la victime.
Des chiffres bien éloignés de la « vérité » à laquelle tente de faire croire le gouvernement d’un recul de la criminalité en France – avec la complicité de nombreux médiats.
La hausse est singulièrement sensible dans les zones urbaines contrôlées (ou censées l’être) par la police, où ces crimes ont explosé : +33 %.
Il est d’ailleurs à noter que pour la justice de leur République, il faut qu’une personne soit détenue plus de sept jours pour que la séquestration soit qualifiée de crime. Il ne s’agit autrement que d’un simple délit.
Ces faits sont de plus en plus violents. Une fois encore, un seul coupable : le régime qui permet aux gangs d’étrangers de commettre ces crimes, de ne pas être condamnés comme ils le devraient et de recommencer, encore, et encore. Car même les policiers sont obligés de le reconnaître : le lien entre criminalité et invasion est évident ; seule l’interdiction des statistiques permet de cacher cette terrible vérité.
« Les équipes de l’Est et de gens du voyage, qui ont pas mal investi ce nouveau champ criminel, sont rejointes désormais par les gangs de banlieue, tentés par l’aspect lucratif de ces attaques, souvent nocturnes, où l’on repart avec les biens de valeur, les cartes bancaires avec code et les voitures des victimes, et où le risque de confrontation avec la police est bien moindre que lors d’un traditionnel hold-up sur la voie publique »
reconnaît ainsi un commissaire.