Alors que l’économie française désindustrialisée dépend de plus en plus du tourisme pour survivre, ce secteur est parasité et entravé par la racaille.
Un rôle économique et social croissant qui le rend indispensable
Après que le Conseil national du tourisme (CNT) a remis, le 15 février 2011, au secrétaire d’État chargé du Tourisme, un rapport faisant le point sur le poids économique et social du tourisme en France, les services ministériels ont ainsi résumé son contenu :
« Le rapport montre que la part de valeur ajoutée du tourisme (41,6 milliards d’euros) dans le PIB [NDJN : produit intérieur brut] est bien supérieure à celle d’autres secteurs, comme l’énergie et l’agriculture (30 milliards d’euros chacun), les industries agroalimentaires (25,7 milliards) et l’automobile (11,2 milliards).
Le tourisme emploie directement en France un million de personnes et fait travailler tous les autres secteurs de l’économie. Les 235 000 PME du secteur ont enregistré une croissance annuelle de 1,6 % depuis 2000.
Le rapport souligne que le tourisme est également un facteur structurant du territoire français (activités liées au tourisme urbain et d’affaires, à la thalassothérapie, aux sports d’hiver, au tourisme de nature et culturel, etc.) et qu’il représente un enjeu social fort, notamment par l’intégration par l’emploi de jeunes en échec scolaire ou professionnel (création moyenne annuelle de 27 000 emplois depuis 10 ans et faible niveau de formation requis). »
Des prédateurs de tous poils empêchent les Français de tirer profit du travail fourni
Le parasitage vient des revendeurs de bibelots et cartes postales, qui, avec leurs activités clandestines, plombent l’activité des commerces officiellement déclarés. Ces derniers sont les seuls à payer des salaires et à verser des cotisations sociales pendant que les autres cumulent les aides sociales encaissées et zéro cotisation versée !
Or, vu l’impunité dont ils jouissent dans leur République à justice anti-nationaliste mais pro-délinquants clandestins, les gangs d’Indiens du Pendjab, de Sri-lankais, de Sénégalais, de Roumains, de Chinois, etc. n’hésitent même plus à frapper les policiers et leur monture au moyen des produits contrefaits qu’ils ne veulent surtout pas qu’on leur saisisse, sachant que c’est leur seule crainte puisqu’ils sont relâchés immédiatement par les services judiciaires, quand toutefois ils sont arrêtés.
https://www.youtube.com/watch?v=sg_qU53rq_0
Les Roms, presque à l’avant-garde de leur République
Quant aux agissements violents et destructeurs, ils entravent carrément l’activité de transmission de l’Histoire de France via la visite de son patrimoine considérable.
Par exemple, les visites au musée du Louvre ont déjà été tellement perturbées par les bandes de voleurs étrangers que même les syndicats marxistes ont bien été contraints de suspendre – quelques instants – leur discours mondialiste, pour soutenir les plaintes des salariés, empêchés de travailler et pas en mesure d’assurer leur sécurité ni encore moins celle des visiteurs, de peur d’être accusés de « délit de faciès » (sic), s’ils refusent l’entrée à des délinquants qu’ils ont pourtant déjà repérés les jours précédents comme tels.
Ces fameux « Roms », eux aussi rescapés/miraculés par millions, pauvres victimes d’on ne sait plus trop quoi tant ils sont nombreux, enrichissent prétendument la France en se servant dans les poches ou les sacs des visiteurs, adressant insultes, crachats et menaces à qui tente de leur résister.
Précisons à leur propos, qu’après le meurtre d’une femme en Italie par un Rom à papiers roumains, la petite-fille de Benito, Alessandra Mussolini, avait été la seule à rester droite dans ses bottes, en qualifiant les Roumains de « délinquants d’habitude », provoquant évidemment une polémique bidonnée par la caisse de résonance médiatique. L’eurodéputée italienne s’était alors retrouvée privée de groupe politique au parlement européen, la normalisation mariniste déjà bien enclenchée au FN conduisant ce parti à accepter la dissolution d’un groupe qu’avait présenté antérieurement Bruno Gollnisch – déjà réduit à avaler des couleuvres.
La casse fait partie intégrante de la « libération » par le marxisme culturel
Les révolutions rouges ainsi que les guerres de terreur contre les identités en Europe ont conduit à raser nombre de villes authentiques pour les bétonner en gris et à angles droits, de Brest et Caen –rasée à 80 % ! – à Hiroshima, en passant par Hambourg, Francfort, Dresde, Breslau et bien des villes ukrainiennes et russes ainsi défigurées pour « faire table rase du passé ».
De même, les gauchistes que Valls, Taubira, Cazeneuve et compagnie n’emprisonnent ni ne dissolvent jamais cassent régulièrement les centres-ville de Nantes, Rennes, Toulouse, etc. Le mobilier urbain y est remplacé aux frais des autres, y compris au moyen des taxes prélevées sur la baguette de pain, tout le nécessaire pour ses enfants et ses parents, ou bien encore la facture d’électricité du nationaliste français, que lui on dissout et harcèle, mais qui doit malgré tout remplir ses devoirs ainsi qu’une part supplémentaire pour ceux qui ne les remplissent pas, alors qu’il n’a que les droits d’un sous-citoyen dans son propre pays ?
Au registre de cette casse matérielle et symbolique, deux statues du château de Versailles – qui attire 10 millions de visiteurs par an – viennent d’être vandalisées par la racaille errante. Qu’elle soit étrangère ou bien mondialiste à papiers français, cette masse informe ne respecte ni notre pays, ni – encore moins – son histoire. Ce faisant, qu’il s’agisse de biens historiques ou d’aménagements publics, elle porte systématiquement atteinte au niveau de richesse nationale en n’occasionnant que des coûts et jamais de gains pour la France.