La scandaleuse utilisation de l’argent public pour sauver le torchon antifrançais
Le Fonds Google-AIPG « pour l’innovation numérique de la presse » a annoncé le financement futur de Charlie hebdo. Le fonds Presse et pluralisme a également annoncé une possible participation. Les groupes Canal+, Le Monde et Libération – où seront accueillis les rescapés – vont aider le torchon notamment grâce à une aide matérielle et humaine. Plusieurs autres journaux et organes du gouvernement, comme l’Agence France-Presse, devraient également « aider » le journal.
Plus grave : les groupes publics – et donc l’argent du contribuable – vont également aider le torchon antifrançais. Radio France et France Télévisions se sont associées au Monde pour annoncer une mise en commun de moyens.
Autre scandale, la direction de la Banque publique d’investissement (BPI), organisme possédé à 50 %, a annoncé sa volonté de souscrire cinquante abonnements ! Toujours avec l’argent du contribuable, le conseil général de l’Essonne, dirigée par l’extrémiste juif Jérôme Guedj, va abonner d’office les 42 conseillers généraux au torchon.
L’étrangère Fleur Pélerin a annoncé elle que le gouvernement était prêt à débloquer un million d’euros appartenant aux Français pour financer la reparution du journal à l’agonie financière quelques jours plus tôt. La loi l’interdit pourtant. Mais l’étrangère a annoncé sa volonté de « changer les textes ».
Numéro à 1 million d’exemplaires, objets promos, anciens numéros aux enchères : vaste opération commerciale après l’attaque du journal « anticapitaliste »
En moins de 48 heures, l’attaque du journal des bobos s’est transformée en vaste opération financière. L’avocat israélite Richard Malka est depuis plusieurs années l’avocat du torchon antifrançais devenu un fervent partisan de la politique sioniste.
« Le journal Charlie Hebdo sortira mercredi prochain et sera tiré à un million d’exemplaires »
a-t-il déjà annoncé, les cadavres de ses patrons n’étant pas encore froids. Le tirage sera 17 fois plus important qu’à l’accoutumée. La rentabilité devrait être exceptionnelle, puisque la pagination sera, à l’inverse, divisée par deux. L’attaque a conduit à la vente de tous les numéros du journal paru le 7 janvier, épuisé en moins de deux jours. Ce n’est pas la seule ignoble opération commerciale constatée.
Certains derniers numéros ont été proposés dès hier en vente sur les sites de ventes en ligne, pour plusieurs dizaines d’euros. D’autres « fans » de Charlie hebdo ont eux proposé des anciens numéros, notamment les plus polémiques, parfois pour plusieurs milliers d’euros.
Plusieurs sites ont déjà été créés qui vendent des objets promotionnels, tasses, briquets, parapluies, avec notamment le slogan « Je suis Charlie » sur des sites dédiés. La plupart ont été retirées ce matin.
Rappelons qu’avant l’attaque le torchon antifrançais était au bord de la faillite et prêt de disparaître, avec seulement 30 000 exemplaires vendus pour un minimum nécessaire de 35 000 euros. Mystères de l’oligarchie, ce torchon non rentable continuait à paraître et à diffuser sa suppuration hebdomadaire. Signe du rejet massif du journal, un appel à récolter 1 000 000 d’euros en novembre dernier n’avait permis que de récolter quelques dizaines de milliers d’euros.
Enfin, plusieurs sites de collectes d’argent en ligne ont vu la création de « cagnottes », dont personne ne sait qui se cache réellement derrière.
Hypocrisie, argent-roi, falsifications : Charlie, était bien le journal du système. Il le sera plus encore demain.
cet article et cette haine envers charlie hebdo est une honte. ce journal est reconnu mondialement et pas vous, est pour ça que vous ragez?? c’est pathétique
Le dernier numéro du torchon avant le raid des immigrés a été vendu à moins de 30 000 numéros, y compris les nombreuses fausses ventes des bibliothèques et institutions – vous savez, ces institutions qui ont permis par leurs politiques criminelles que la rédaction du torchon soit éliminée ? -. Ce n’est pas le tiers de nos lecteurs hebdomadaires. Alors niveau reconnaissance…