Dans l’une des enquêtes ouvertes après les attaques des frères Kouachi et d’Amedy Coulibaly, un certain Amar R. est recherché pour trafic d’armes. Il a été mis sous surveillance par la direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP) après l’assassinat d’une policière, africaine également, à Montrouge en janvier.
Amar R. a été vu avec Amedy Kouachi entre les deux attaques, celle contre la policière de Montrouge et la prise d’otage dans un supermarché communautariste extrémiste juif à Paris, quelques heures avant cette dernière.
Or, en suivant Amar R., la DRPP a constaté qu’il se rendait fréquemment au fort de gendarmerie de Rosny-sous-Bois, alors qu’il était visé par un mandat d’arrêt européen. Il y rentrait en compagne de sa « fiancée », sous-officier de la gendarmerie travaillant dans les services de renseignements, mais également parfois sans qu’elle ne soit présente, et ce jusqu’à son arrestation le 23 janvier.
« Nous n’avons pas constaté de faute professionnelle [sic] »
se défend le directeur général de la gendarmerie nationale (DGGN).
Se voilant la face sur l’état de corruption généralisée du système, le général Denis Favier ajoute :
« Certes, il y a bien eu un contact entre les deux personnes, mais à ce stade de l’enquête, confiée à la police judiciaire de la préfecture de police, il n’y a rien à reprocher à la sous-officier de la gendarmerie. Nous n’avons pas constaté de faute professionnelle. Il existe une stricte séparation entre enquête de police et de gendarmerie. Nous ne pourrons tirer des conclusions qu’à la fin de l’enquête de la PJ. »
Ce n’est pourtant pas la première fois que la gendarmerie, d’où sont écartés les éléments trop patriotes, est confrontée à ce genre d’affaires : en 2014, deux gendarmes islamistes travaillant dans le même centre de Rosny consacré au renseignement avaient été mis à l’écart alors qu’ils se préparaient à partir en Syrie.
Dormez tranquille braves moutons,le systéme maçonnisé jusqu’aux plus hautes sphéres,au-dessus c’est le soleil,veille sur vous.La preuve avec cet effarant article.
Un goy à la place d’Amar n’aurait pas fait cent métres dans leur ripoublique.
« Les nationalistes,loin d’être les derniers d’hier,sont les premiers de demain »,dit Pierre Sidos.
Avec nous au pouvoir,cette canaille se balancera au bout d’une corde!