Leur République offre des informations aussi étonnantes que symboliques. Comme nous l’avions annoncé, l’ancienne caserne de gendarmerie de Pouilly-en-Auxois a été transformée en « squat » officiel pour délinquants étrangers, qui seront désormais nourris, logés, blanchis et soignés aux frais du contribuable. La différence avec les gendarmes et que ces clandestins n’ont pas même officiellement la mission d’assurer l’ordre. Au contraire, les précédentes expériences similaires, en France comme à l’étranger, ont conduit à une forte hausse de la criminalité.
Les 22 premiers colons ont été installés hier dans l’ancienne caserne du peloton autoroutier.
Ce sont également les Français qui ont financé le voyage via l’Office français de l’immigration et de l’intégration (sic) (OFII), qui, symboliquement, a déposé les étrangers dans la rue du 8 mai 1945, date de la capitulation de l’Europe devant les armées coalisées américano-russes.
Leur arrivée a été l’occasion d’une grande fête républicaine à laquelle ont assisté aussi bien la représentante de Bernard Cazeneuve et de Manuel Valls dans la région, Anne Frackowiak-Jacobs, sous-préfète de Beaune, que le maire de Pouilly-en-Auxois Bernard Milloir.
Tous sont des Soudanais, des Érythréens, des Somaliens, à l’image des 18 Somaliens qui violaient et prostituaient des Blanches mineures en Grande-Bretagne.
Seuls deux d’entre eux sont francophones, mais des cours, financés par les Français, leur seront bientôt prodigués – comme ils l’avaient été à Amedy Coulibay et Moussa Coulibaly – leur permettant une meilleure « intégration ».
À terme, au moins soixante clandestins dits « réfugiés » seront admis sur place. Ils représenteront alors 4 % de la population de la petite ville de Bourgogne, en application du plan de suppuration ethnique de leur République qui a conduit depuis plusieurs décennies a installé les étrangers dans les HLM d’où les Français ont été chassés, avant que les autorités n’inventent la « mixité sociale » puis d’installent les étrangers au cœur même des campagnes.
« Bon nombre d’entre eux sont recherchés dans leur pays »
a tenu à préciser la presse. Grâce au laxisme de la justice rouge de Christiane Taubira, ils ne devraient pas l’être pendant longtemps en France.