Un cimetière chrétien a été profané à Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse. Douze tombes au total ont été touchées. Plusieurs plaques commémoratives et les croix ont été détruites dans une évidente volonté profanatrice antichrétienne. Ne s’agissant pas de biens juifs, aucune réaction de leur République n’a été constatée. Pire encore, le procureur de Narbonne a quasiment nié l’existence des faits.
Le tristement célèbre procureur juif David Charmatz a évoqué des objets « simplement » « jetés au sol ».
« Ces faits n’ont aucun caractère religieux ou raciste. Il s’agit d’individus ayant bêtement voulu imiter les profanations dans l’est de la France »
a prétendu l’antifrançais négationniste, en l’absence de toute enquête, de tout témoignage et de tout interrogatoire. À moins que cet individu, dont la complaisance avec l’extrême gauche a déjà été démontrée, craint que les profanateurs soient comme en Alsace menés par un antifasciste ? Le cimetière avait déjà été attaqué quelques jours tôt. Avant la « profanation » d’un cimetière juif abandonné, l’information n’avait pas fait une seule ligne dans les médiats. Aucune plainte n’avait été déposée.
Comme pour les cimetières d’Aquitaine et de Normandie, aucun moyen n’a été déployé pour retrouver les coupables.
La situation est identique en Guyane, à Matoury, où le cimetière chrétien a été profané également. Huit tombes ont été touchées. « De l’alcool et des morceaux d’os de poulets ont été retrouvés sur les lieux, ce qui peut faire penser à des rites ésotériques même si aucune hypothèse n’est exclue » a précisé le directeur de cabinet du préfet. Ce dernier, conformément au comportement habituel antifrançais et antichrétien du gouvernement, n’a visiblement pas trouvé que la profanation de huit tombes chrétiennes valait la peine qu’il intervienne.