Le politicien social-démocrate Sebastian Edathy est jugé depuis hier à Verden en Allemagne pour avoir téléchargé des images à caractère pédopornographique avec l’ordinateur du parlement allemand et pour avoir possédé un disque où il compilait des images d’enfants violés. Il avait été confondu lors d’une vaste enquête internationale qui avait conduit au démantèlement d’un réseau international de pédocriminels. Bénéficiant de complicités au plus haut sommet de l’État, il avait été prévenu qu’une enquête avait été ouverte contre lui, ce qui lui a sans doute permis de se débarrasser de nombreuses preuves.
Après quelques dizaines de minutes, le procès a été ajourné jusqu’au 2 mars. Les juges veulent laisser au pédocriminel le temps de réfléchir à une proposition lui permettant d’échapper à un procès contre le paiement d’une amende et la reconnaissance de sa culpabilité. Il risque sinon deux ans de prison.
Sebastian Edathy est un indien à papiers allemands. Il s’est rendu célèbre par ses attaques contre les patriotes et les nationalistes jusqu’à devenir un « spécialiste » rémunéré de « l’extrême droite ». Les députés avaient placé ce pédocriminel étranger à la tête d’une commission d’enquête sur de prétendus « crimes » commis par des patriotes contre des étrangers en Allemagne durant les années 2000. Sans les révélations de ses crimes, il serait devenu ministre d’Angela Merkel. L’un des ministres de cette dernière, le « conservateur » (sic) Hans-Peter Friedrich, avait été contraint à la démission pour avoir révélé au pédocriminel que les policiers enquêtaient sur lui.
Le pédocriminel juif Daniel Cohn-Bendit, qui a revendiqué ses actions pédocriminelles dans un livre et dans des émissions télévisées, n’a jamais été jugé pour ses crimes, ni en France, ni en Allemagne où il a longtemps résidé et où il a longtemps été acteur politique. Il a bénéficié, comme de nombreux autres politiciens pédocriminels, de la complicité active des partis de gauche et notamment des prétendus « Verts ».
En 1975, Daniel Cohn-Bendit écrivait :
« Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : “Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas d’autres gosses ?” Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même. »
« J’avais besoin d’être inconditionnellement accepté par eux. Je voulais que les gosses aient envie de moi, et je faisais tout pour qu’ils dépendent de moi. »
(Le Grand Bazar, Éditions Belfond, 1975).