François Hollande a approuvé par décret l’élection (sic) du « grand rabbin de France », pour siéger à l’Académie des sciences morales et politiques.
L’avant-garde cumule les postes liés à la « morale »
Cet ancien « aumônier en chef du culte israélite des armées » et de l’École polytechnique percevait déjà une rente d’officier payée par les Français.
Ayant manifestement quitté l’uniforme, cet élu parmi les élus est très engagé en politique puisqu’il arpente tant leur colonie new-yorkaise pour y dicter ses normes au maire local convoqué dans leur lieu de culte, que pour y tenir un discours politique, s’exprimant quant à l’appel de Benyamin Netanyahou aux juifs d’Europe à émigrer vers l’entité sioniste en Palestine.
Ce même rabbin s’est également lamenté de ce qu’en France on laisse encore un peu des patriotes et dissidents critiquer ouvertement la politique criminelle menée contre Gaza, qualifiant toute opposition… d’« antisémitisme », ce qui tendrait à faire penser que la politique israélienne serait effectivement conforme aux dogmes religieux judaïques.
En tout cas, tout ceci confirme qu’il existe un judaïsme politique qui occupe l’espace et semble déterminer bien des prises de position politiciennes et médiatiques modernes, le plus souvent, sous un règne de terreur intellectuelle, financière et militaire.
Cependant, Haïm Korsia, déjà grand voyageur par-delà les mers, a été promu au rang de « grand rabbin » par leur Consistoire, après que ses prédécesseurs ont été contraints de démissionner suite à des scandales en rafale.
Gilles Bernheim mis en avant par Nicolas Sárközy
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Fervent soutien du sionisme et du néologisme « terre d’Israël » escroquerie anti-religieuse puisqu’Israël était censé être dans l’Au-delà et non sur Terre, mais où il va bronzer durant l’été, Gilles Bernheim fut le premier à beaucoup souffrir de certaines informations enfin diffusées.
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Il avait été décoré avec une insistance excessivement lourde par son coreligionnaire Nicolas ‘Israël, c’est le combat de ma vie’ Sárközy :
« Nous sommes réunis pour rendre hommage au grand rabbin de France, Gille Bernheim. Gardien des lois religieuses pour la communauté juive [dixit leur président rejetant, par ailleurs, tout communautarisme…], il est le passeur de ce testament de valeurs et d’humanité que le peuple juif a transmis au monde [sic] ».
Ajoutant, dans un tortillement comparable à celui d’un voyageur arrivé dans un camp de travail, mais n’ayant pas encore été traité contre les parasites transmettant parfois des maladies potentiellement mortelles comme le typhus :
« Ces valeurs, chaque Français les reçoit selon ses convictions [quid de la “laïcité” ?], mais la cérémonie qui nous réunit aujourd’hui témoigne que tous [sic] nous sommes d’accord pour voir en vous, Monsieur le grand rabbin, un homme qui porte l’identité de la communauté [sic], qui la protège, qui transmet ses valeurs [lesquelles ?], au travers d’une personnalité, la vôtre, exemplaire [sic]. »
Un « saint » républicain en disgrâce
Contredisant les éloges frelatées reçues du président mafieux de leur République, Gilles ‘exemplaire’ Bernheim avait été poussé vers la sortie, après qu’un de ses livres s’était avéré avoir été pompé par un « nègre » : leur religieux avait ainsi signé un plagiat composé sur le mode copié-collé par un obscur étudiant mis à contribution pour servir la gloriole d’un colon. Ce dernier avait d’abord menti en niant les faits, avant de finir par devoir admettre l’évidence.
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Puis, il était apparu que ledit Bernheim ne possédait pas le titre académique dont il se vantait. Ceci était logique : ignare dans un domaine où il prétendait exceller, celui que le Nouvel observateur présenta malgré tout comme un « intellectuel reconnu » (sic) ne relisait pas les livres qui lui rapportaient des droits d’auteur et quand bien même les aurait-il survolés, il n’aurait rien vu au plagiat signé de sa main puisqu’il n’entendait pas grand-chose au domaine philosophique en question !… Une sorte de plagiat « à l’insu de son plein gré » (comme avait dit un cycliste à propos des produits dopants qu’il se laissait administrer, mais dont il ne maîtrisait pas la pratique médicale ni chimique).
Étonnamment, leur religieux ne recourut pas à ce type d’artifice dialectique pour tenter de se disculper fallacieusement.
S’agissant finalement de la même affaire d’escroquerie intellectuelle, M. Bernheim aurait également pu argumenter, avec la complicité active de leurs médiats, tant de son expérience que de son savoir religieux pour faire accroire aux téléspectateurs que ça pouvait être considéré comme une équivalence d’avec une agrégation en bonne et due forme. Pas de doute que leur République aurait été mise en branle dans tous ses rouages pour faire une exception en faveur d’un républicain exemplaire et pour réprimer sévèrement tous ceux qui oseraient discuter le « bien-fondé » de la chose.
De même, il lui aurait été aisé de reprendre la formule d’auto-grand pardon et encore toute chaude, d’une « faute morale », employée notamment par son coreligionnaire Dominique Strauss-Kahn dans une de ses innombrables affaires de violences sexuelles, urophiles et bestiales commises sur des femmes apparemment toutes non juives.
Mais le sieur Bernheim préféra démissionner dès la seconde mini-salve contre lui, ce qui amène à se demander s’il n’était pas menacé par la révélation d’un bien plus gros scandale le concernant – une énorme affaire de mœurs, par exemple – et que, l’adage « jamais deux sans trois » aidant, il comprit enfin que, quoique placé à la toute avant-garde de leur République, son refus de soutenir le « mariage » dit « pour tous » avait sonné l’heure de sa purge, faisant choir dans la poubelle de l’Histoire son inamovible chapeau et les éventuels autres scandales qui pouvaient couver dessous.
Michel Guggenheim renvoyé pour une prédation financière ébruitée
Pour ne point laisser leur République, déjà veuve, totalement orpheline (?), la bande à Guggenheim prit le relais, en catastrophe.
Le mot « bande » ici employé n’est évidemment pas destiné à faire penser que tout leur microcosme ne serait qu’une gigantesque mafia aux protagonistes interchangeables à l’infini, mais bien que le scandale allait être révélé, cette fois-ci, beaucoup plus rapidement que pour leur prédécesseur : ce groupe fut alors accusé d’escroquerie en bande organisée.
En effet, une femme de leur communauté s’offusqua de se voir réclamer 90 000 euros et un faux témoignage – mentir et de retirer ses plaintes, déposées au cours des cinq dernières années – devant la justice, par la fine équipe de leur temporaire « grand rabbin de France », pour pouvoir divorcer. Montrant au passage que le judaïsme le plus officiel se comporte comme un État dans l’État en appliquant ses propres lois, dérogatoires au droit commun applicable à tous les autres – faites comme je dis, pas comme je fais –, la femme en colère choisit de diffuser publiquement la vidéo de l’entrevue au cours de laquelle lui fut réclamée une considérable quantité de monnaie européiste… « donnez, donnez, Dieu vous le rendra » ? Selon Michel Gungenheim,
« c’est le prix de sa liberté ».
La déduction fiscale accordée par leur République à ces étrangers leur permettait, en cas d’encaissement du chèque de 90 000, de déduire 60 000 sur le revenu imposable des donateurs et que des institutions étrangères extrémistes bénéficient de ces 90 000 euros pour continuer à fanatiser leurs troupes dès le plus jeune âge dans l’histoire biaisée et la haine de la France – fille aînée de l’Église qu’ils haïssent – et des Français.
On comprend mieux, dès lors, entre les historiens non menteurs et les déballages quant à un certain affairisme secret, pourquoi la clique de François (sic) Hollande souhaite censurer férocement le réseau Internet contre la diffusion de tout message jugé, par eux, non conforme, c’est-à-dire contre toute information valable !
Morale
Ce nouveau scandale eut raison en un délai record des intérimaires de la chapellerie qui, remarquons-le tout de même, n’appliquent pas la règle française de politesse élémentaire consistant à se découvrir de son couvre-chef tant devant une dame que dans des locaux eux-mêmes couverts ; leur uniforme religieux capital consistant en une kippa étant pourtant suffisamment visible et moins inadaptée aux mœurs sociales de notre pays.
Bref, une telle accumulation de comportements en adéquation totale avec leur « République exemplaire » supposait non seulement qu’un autre jacobin occupât la place laissée vacante par défaut d’honnête titulaire – et profite des avantages financiers gigantesques qu’elle semble prodiguer quand est prononcé un divorce dans leur religion. Mais surtout, il devenait urgent qu’on attribuât au nouveau titulaire de leur rente un certificat de moralité auquel on ne serait pas contraint, cette fois, d’attacher le mot ‘faute’.
« L’Académie des sciences morales et politiques » était donc tout indiquée pour faire admirer urbi et orbi leur nouvelle « référence », d’autant plus que le siège de feu son coreligionnaire Michel Crozier attendait un nouveau séant certifié pour le réchauffer. Ceci datait du décès de M. Crozier en mai 2013, ce qui fait douter de l’utilité de cette institution, puisque le monde ne s’est pas arrêté de tourner pendant tout ce temps, et montre la difficulté à trouver un profil tel que souhaité dans ce peuple de soi-disant « génies ».
Une « tradition » républicaine en croissance exponentielle
C’est ainsi que commença le mois dernier cette nouvelle histoire très émouvante qui succède à d’autres nominations du même acabit.
Ainsi, en va-t-il du trotskyste soixante-huitard Alain Finkielkraut placé à l’Académie dite « française », lui qui a pris la défense de son coreligionnaire pédocriminel Roman Polanski au seul motif que ce dernier serait « un enfant du ghetto de Cracovie » ; ghetto où vivaient les juifs par refus de s’intégrer aux Polonais… en Pologne.
Cet écrivain est devenu subitement « identitaire », juste avant sa nomination, plus par opportunisme et projection mentale psychanalytique des Maghrébins sur ses fantasmes de « pogroms » que par une quelconque empathie pour les Français dont il contribue à détruire le pays et la culture… sa place dans une académie traitant de notre langue étant donc toute trouvée !…
De même en fut-il pour une des innombrables « rescapées », alors enfant et donc inapte au travail, ce qui est un fait « antisémite » et « révisionniste » puisqu’on nous dit que les inaptes au travail n’avaient que quelques heures à vivre, alors que soixante-dix années, ça fait 613 608 heures, plus la période de guerre officielle – elle continue toujours –… portant un sérieux coup à pourtant bien des témoignages prétendument « authentifiés » !
http://www.ina.fr/video/4152284001
Simone Veil fut reçue sous la même Coupole, cérémonie diffusée en direct sur France 3 et probablement en mondiovision. En tout cas, cette personne-là ne risque pas d’être gênée par des affaires de plagiat, puisqu’elle a été nommée, dans les secrètes arcanes salomoniques de leur République, pour participer aux délibérations quant à la langue française… alors qu’elle n’a fait publier qu’un seul livre, politiquement très conforme car exclusivement axé sur une lamentation nombriliste, très tardivement pour essayer de « justifier » sa nomination, en sus des droits d’auteurs, bien entendu.
Mais, que cette politicienne à l’avant-garde de l’avortement pour toutes soit liée de manière éternelle à la Souffrance parmi les souffrances ne justifie-t-il pas suffisamment que Nicolas Sárközy, Jacques Chirac et toute l’écume de la clique que pouvait contenir l’endroit joua des épaules pour assister, les yeux émerveillés, au discours de leur nouvelle « immortelle » ?
Pas sociologue, le communautariste Korsia est multi-diplômé de leur République antifrançaise
Dans toute cette lignée, la nomination de Haïm Korsia est donc la suite logique d’un processus de colonisation et de soumission totale aux principaux tenants du cosmopolitisme destructeur des nations, leur communautarisme évident ne les empêchant de prôner verbalement le contraire à l’adresse des Français.
Selon l’encyclopédie en ligne Wikipedia, le nouveau promu Haïm Korsia est titulaire d’un ‘MBA’ de la ‘Reims Management School’, où il a soutenu un mémoire traitant de « la conception d’une stratégie de développement pour le rabbinat français », d’un DEA de l’École pratique des hautes études et d’un doctorat en histoire contemporaine consacré à « la vie du grand-rabbin Jacob Kaplan » dans lequel il souligne l’attachement de « cette figure tutélaire du judaïsme français à concilier deux espérances, celle de la Bible et celle de la République. »
Il a également suivi un cursus universitaire d’études et de recherches sur les questions militaires et géostratégiques, et il a intégré l’Institut des hautes études de la sécurité intérieure (IHESS), puis le Centre des hautes études sur l’Afrique et l’Asie modernes (CHEAM) dont il est sorti diplômé après avoir soutenu un mémoire sur « les groupes religieux juifs en Israël et le processus de paix » [sic].
Précisons que leur Talmud considérant que seul le juif mérite d’être appelé ‘homme’, leur République applique actuellement ses « droits de l’homme » tels qu’ils ont été conçus et qu’elle n’a donc nullement besoin de Bible pour ça !
Les colons se moquent de nous
… Et après ça leur République attaque les nationalistes comme Ivan Benedetti, au motif du barbarisme « antisémitisme » (sic) alors que ce qui est dénoncé est, en particulier, le judaïsme politique, aux confins du cosmopolitisme et de ce mondialisme revendiqué et pratiqué par les ennemis des peuples enracinés.
Décidément, leur Gueuse est une insulte quotidienne à l’intelligence des Français !