Invasion, trafics de drogue, viols, incendies de voiture, chômage, pollution des sols, désindustrialisation : rien de cela ne préoccupait Jean-François Carenco, qui vouait sa vie de préfet du Rhône à protéger la caste républicaine en traquant les patriotes chaque minute de sa vie. Promu justement uniquement à ses attaques contre les Français, il a été remplacé il y a peu par Michel Delpuech.
À peine arrivé, ce dernier n’a fait publier aucun communiqué sur les innombrables braquages, vols, agressions, ni sur d’éventuelles mesures qu’il aurait prises en matière de sécurité, en matière économique, en matière de santé, de lutte contre la pollution. Mais il a tenu à faire publier un texte annonçant des poursuites contre… le déploiement d’une banderole « Je suis Charles Martel » au-dessus de l’autoroute et contre quelques messages écrits sur les murs d’une école. Alors que les tags racistes antiblancs pullulent dans les zones ethniquement perdues sans susciter l’indignation de Michel Delpuech, une simple banderole au message non condamnable le conduit à porter plainte, dans le seul but de montrer à ses maîtres qu’il mènera comme son prédécesseur une lutte sans merci contre les Français non reniés.
Les inscriptions sur les murs de la cité scolaire de Tarare sont : « plusieurs croix gammées, un pistolet, une mitraillette avec les balles qui sortent du canon, un couteau, […] bientôt boom, mort juifs, fok juifs » ont été réalisées « avec de la peinture en bombe de couleur fluo » selon la préfecture. C’est dans un communiqué très engagé à gauche politiquement, mensonger historiquement et visiblement écrit dans une loge que le préfet fait connaître sa haine de la France et de son histoire :
« Charles Martel, duc des Francs, est fréquemment cité comme une inspiration par l’extrême droite, au mépris [rigoureusement sic] de la réalité historique. Du reste, au lendemain des attentats contre Charlie Hebdo, de nombreux activistes d’extrême droite avaient défilé en claironnant Je suis Charlie Martel »
a fait connaître l’antifrançais.