Le soufflet médiatique post-shoahrlie étant retombé, le magasin hyper-communautariste casher où un Africain avait été abattu après avoir demandé la libération de deux Maghrébins encerclés par la police – les frères Kouachi alors très en colère contre Charlie hebdo – a été repeint en blanc et va rouvrir ses portes aux colons de l’Est parisien.
Vers une nouvelle « souffrance » éternelle ?
Cet inédit lieu de pèlerinage « laïque », et qui sera très probablement un lieu de passage obligé pour la déformation prétendument ‘civique’ de tout cobaye de leur enseignement public dans un avenir proche, a même attiré le maire états-unien de New York.
Politicaillerie oblige, Bill de Blasio s’est probablement senti contraint de venir y déposer sa gerbe –un bouquet de fleurs – pour complaire aux tenants de cette capitale mondiale de la finance apatride dont il est l’édile, car ils décident des résultats aux élections, outre-Atlantique, à travers leur financement des campagnes électorales.
Dans leur République de la Sécurité sociale pour tous les Étrangers, mais du ticket modérateur, des médicaments non remboursés, des cotisations qui amputent injustement le salaire et de la mutuelle insuffisante pour les Français ayant besoin de lunettes ou de soins dentaires, leurs médiats signalent que presque tous les employés de cette boutique – d’aliments obtenus dans des circonstances de souffrances rituelles infligées volontairement aux animaux – sont encore en arrêt maladie, plus de 2 (deux) mois après l’hystérie systémique. Encore une cause du déficit abyssal de la Sécurité sociale !
Ô tempora, ô mores !1
Autrefois, des Français dans cet état psychologique auraient pris le taureau par les cornes et seraient, pour les plus férus de spiritualité catholique par exemple, immédiatement allés se confesser de leurs pêchés… retrouvant instantanément le goût d’affronter le présent. Mais ça, c’était avant les « cellules psychologiques » et notre colonisation par leurs homophiles dispensateurs psychanalytiques plus volontiers adeptes du bouc-émissaire et de la surfacturée séance de lamentation sur un divan.
Au premier rang de leurs vedettes souffreteuses, on trouve leur désormais fameux Lassana Bathily, ce délinquant africain qui avait violé nos frontières avant d’être embauché sur place, probablement au nom de leur discrimination dite « positive » car anti-Blancs, chère à leur ouvertement hyper-casher président de l’UMP, Nicolas Sárközy.
La réalité niée par les tenants de l’anti-France universaliste
Le premier, comme le second à la Présidence de leur République durant cinq interminables années, a été déifié et récompensé d’une carte « d’identité nationale » frauduleusement remise par leur République. De plus, en cessant ainsi son activité professionnelle, il tend à confirmer qu’il serait, lui également, un imposteur parasitaire. Rappelons que cet Africain fut médiatiquement décrit comme une sorte de « super-héros » pour avoir, paraît-il, enfermé quatre juifs dans une chambre froide afin de les protéger contre un de ses congénères. Les rescapés de cet enfermement n’avaient miraculeusement pas fini asphyxiés par manque d’oxygène et, du seul fait d’émaner de l’avant-garde de leur République, la pétition pour la « naturalisation » de leur geôlier-magicien avait prospéré en quelques heures jusqu’à leur Président François [sic] Hollande.
Prétendant parler au nom des Français, cette espèce de ‘président par accident’2, élu par seulement trente pour cent du « corps électoral » s’était alors permis de nier la réalité en appelant Français, donc Européen, un individu en tous points africain, faisant, par la même occasion, du colonialisme : leur citoyenneté républicaine étant jugée, y compris par l’obscur envahisseur, comme supérieure à toute nationalité… africaine.
Au passage, nous voyons ici comment la négation de l’existence des races mène logiquement à la négation des peuples qu’elles contribuent pourtant, avec d’autres critères essentiels, à caractériser, donc à distinguer les uns des autres, dans une diversité internationale véritable. Mais puisque, selon feu Edmond de Rothschild, « le verrou qui doit sauter à présent, c’est la Nation », tout est fait pour diluer chacun dans un ensemble informe.
Reste à savoir combien de membres de la police nationale – notre Nation leur déplaît déjà moins lorsqu’elle est mise tout entière à leur service… – continueront d’être mobilisés sur les lieux jour et nuit dans ce quartier calme, alors que des millions de Français subissent les effets de l’immigration-invasion en d’autres endroits où les services de l’État ne s’aventurent plus guère, abandonnant nos compatriotes qui auraient besoin d’aide à un injuste sort.
____________________________________
1 Formule de l’avocat romain Cicéron, pestant alors contre les mœurs décadentes des temps modernes dans le parlementarisme antique. Préférable au fataliste « autres temps, autres mœurs ».
2 Président par accident : film, tourné en 2002, dans lequel le parti démocrate prépare l’élection d’un Africain car la somme des minorités, qui forme une majorité absolue, votera pour un candidat issu d’une minorité, contre tout candidat de la majorité blanche devenue seulement relative, donc démocratiquement minoritaire, aux États-Unis d’Amérique. Puis fut élu, en 2008, comme dans cette fiction devenue simple anticipation, le candidat démocrate Kényan Barack Hussein Obama, ‘fabriqué’ par la communauté juive de Chicago selon cette dernière.]