L’AFP révèle que, dans un scandaleux jugement, des juges antifrançais ont prétendu que les « Français blancs dits de souche ne constituent pas un groupe de personnes » au sens de la loi française. Les juges de la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris, les mêmes qui condamnent régulièrement les nationalistes et les révisionnistes, ont prononcé la relaxe pour deux étrangers racistes antiblancs, un rappeur et un sociologue, qui ont publié en 2010 un disque et un livre intitulés : « Nique la France ».
Les étrangers racistes y évoquaient les « petits gaulois de souche » et les « petits culs tout blancs présents à l’Assemblée nationale » – c’est-à-dire justement les criminels qui ont permis l’invasion du pays et interdisent aujourd’hui aux Blancs de se défendre, jusqu’à nier leur existence – aux « Arabes, Noirs et [islamistes] ».
Selon les juges rouges, il n’existe pas de racisme antiblanc car être Blanc « ne recouvre aucune réalité légale, historique, biologique ou sociologique », quand toutes les études scientifiques, quand la réalité de la France occupée, quand toute l’histoire de France en démontre la réalité.
Les mêmes d’ailleurs condamnent régulièrement des Blancs pour avoir « insulté » (sic) des étrangers, Juifs, Noirs ou Arabes, dont les juges racistes antiblancs tiennent l’existence pour acquise.
Les juges de Christiane Taubira affirment donc qu’il est possible d’insulter et de diffamer à l’envi les Blancs, quand ils interdisent tout propos insuffisamment laudateurs contre les Juifs, les Arabes, les Noirs, les islamistes, les déviants sexuels, etc. dans le cadre de la loi de 1881 dite, sans doute par humour, sur la liberté de la presse. L’AGRIF qui avait porté plainte a fait appel de cette scandaleuse décision.
Leur République et tous ceux qui la soutiennent, tous les partis de l’extrême gauche à l’extrême droite, les médiats, les simples ‘citoyens’ qui creusent leur propre tombe, se pliant devant les antiracistes, niant l’existence de la France, accentuent leur guerre contre notre pays et notre peuple.