Jeune nation a dénoncé à de multiples reprises les agissements du système cachant les noms des criminels issus de la caste médiatico-politique quand les mêmes pseudos journalistes dénoncent, parfois avec les adresses, les identités de simples mis en cause et parfois même de personnes innocentées par la justice dans le seul but de leur nuire. C’est à nouveau le cas après les révélations sur les agissements d’un pédocriminel récidiviste. Pourtant des détails permettant d’identifier l’individu ont été diffusés à travers les journaux. D’autre part, très rapidement, son nom a disparu du site internet de l’académie de Grenoble comme du site de la mairie de Villefontaine.
C’est donc sciemment qu’un dangereux criminel, récidiviste déjà condamné et ayant avoué, a en partie été protégé. S’agit-il de protection politique grâce à ses liens avec la gauche et le pouvoir, lui qui fut candidat socialiste ? Bénéficie-t-il des protections de la communauté juive via sa femme, issue de la communauté de Villeurbanne ? Cela est-il dû au réflexe corporatiste visant d’une part à ne pas exposer un « collègue » et de protéger l’institution des questions gênantes ? Ces faits sont d’autant plus troublants qu’il est difficilement imaginable qu’un tel malade a seulement commencé à agir en décembre 2014.
Un directeur d’école instable
Romain Farina a été nommé instituteur et directeur de l’école du Mas de la Raz à Villefontaine en septembre 2014. Il avait déjà exercé dans cette ville pour quelques mois en 2012, à l’école du Ruisseau. Un an plus tôt, il avait été affecté dans une école de Saint-Clair-de-la-Tour ; il avait quitté précipitamment son poste peu après, obtenant une nouvelle mutation. La municipalité de Saint-Clair-de-la-Tour avait alors annoncé la nouvelle dans un communiqué lapidaire, sans un mot de remerciement :
« Mr [sic] FARINA n’[a] pas souhaité poursuivre sa mission au sein de notre commune, il est remplacé pour l’année scolaire 2012/2013 par Madame Véronique REGNAULT. »
C’est en 2014 que le pédocriminel a été affecté à l’école du Mas de la Raz où il a fait au moins neuf victimes.
Aucune information n’a filtré sur les postes qu’il a occupés entre 2001, date de sa première nomination, et 2008, date de sa première condamnation. C’est après celle-ci qu’il se serait fait muter dans l’académie de Grenoble.
Selon des sources académiques, Romain Farina a été mis en congés maladie entre 2008 et 2011. La raison officielle en serait la perte d’un enfant. Étrange coïncidence : 2008, c’est l’année où il a été condamné pour détention d’images pédopornographiques.
L’individu était très bien inséré socialement. Directeur d’école, syndicaliste et engagé à gauche, sa famille faisait partie des notables. Sa femme était de son côté secrétaire adjointe de l’association Le Sou des écoles pour l’école élémentaire de Saint-Georges-d’Espéranche, où réside le pédocriminel, à quelques kilomètres de Villefontaine. Elle fut élue comme parent d’élèves pour l’association de gauche la FCPE. La liste la FCPE était dirigée par Manuel Coullet, par ailleurs tête de liste divers gauche en 2014 dans la liste à laquelle participait Romain Farina (12,1 %). A-t-elle pu ignorer, comme l’ensemble des acteurs de ce dossier, la condamnation de son mari ?
Candidat socialiste et syndicaliste
Romain Farina était un citoyen très actif. Il a été candidat sur la liste socialiste menée par Thierry Lagrange dans la commune des Avenières, en Isère, tout près de Villefontaine en 2008. En 2014, c’est à Saint-Georges-d’Espéranche qu’il a été candidat, sur la liste de gauche menée par Manuel Coullet. Il semble s’être peu à peu éloigné du gouvernement ces derniers mois ; les politiques pénales ultralaxistes mises en place par Christiane Taubira et Manuel Valls ont pourtant tout pour le satisfaire.
Romain Farina fut longtemps un activiste du Syndicat national unitaire des instituteurs, professeurs des écoles et PEGC (SNUIPP), syndicat d’extrême gauche dont il fut le contact pour le secteur de La Tour-du-Pin – y compris durant la période pendant laquelle il était prétendument en congés maladie. Ces derniers mois, sans explication rationnelle, il a quitté le SNUIPP pour rejoindre le SNÉ-FGAF (syndicat national des écoles-Fédération générale autonome des fonctionnaires).
« Fin 2013, j’ai rencontré un membre éminent du SNE après avoir lu un certain nombre de publications. Tout d’abord ce sont des mots qui m’ont interpellé : Égalité, Laïcité, République, apolitique [sic], indépendant, force de proposition… »
affirmait-il il y a quelques mois dans un entretien à un journal syndical. Les véritables raisons de son départ ne sont pas connues.
Le pédocriminel (provisoirement) écroué
Hier, Romain Farina, 45 ans, a été mis en examen et écroué. Il a reconnu les viols et aurait affirmé regretter les viols qu’il a infligés aux enfants. Le malade a cependant prétexté la « fatigue » pour obtenir la fin de son interrogatoire.
Il est poursuivi pour viols par personne ayant autorité sur mineurs de 15 ans, agressions sexuelles par personne ayant autorité sur mineurs de 15 ans, ainsi que, en récidive, d’acquisition et détention d’images à caractère pédopornographique.
Bien loin des deux victimes évoquées au départ de l’affaire, déjà neuf plaintes ont été enregistrées dans ce dossier. Il s’agit de sept filles et deux garçons âgés de 6 et 7 ans. Les faits connus se sont produits entre décembre 2014 et mars 2015. Certains élèves auraient été victimes à plusieurs reprises.
En plus des fellations imposées à des élèves derrière un paravent, il aurait multiplié au fil des semaines les viols et agressions sexuelles en tout genre, avec, outre les pénétrations, des attouchements et des masturbations durant des « ateliers ». Les victimes pourraient être beaucoup plus nombreuses ; les 28 élèves de la classe auraient subi des sévices.
Romain Farina avait organisé toute une mise en scène pour satisfaire ses penchants criminels. Dans sa salle de classe, il avait installé des appareils pour se filmer – il aurait depuis effacé toutes les images – en train de violer les enfants. Il organisait des « ateliers » dans l’unique but de commettre ses crimes.
Selon certains témoignages de parents, tous les enfants de l’école semblaient au courant que cet instituteur infligeait des sévices à ses élèves. Mais pas la justice – qui n’a jamais fait suivre le pédocriminel condamné –, ni le personnel de l’école, ni le ministère de l’Éducation nationale, qui ne s’est pas plus préoccupé de ce qui se passait dans cette classe, que de suivre un pédocriminel condamné – ou, ce qui serait pire, de mettre en place les outils pour obtenir les condamnations de ce type contre des personnels de l’Éducation nationale.
Aucune véritable réaction du peuple, ni contre les juges, ni contre les politiciens
Les autorités – qui pour certaines ont tout fait pour protéger le pédocriminel hier comme aujourd’hui – politiques, académiques et gouvernementales, feignent aujourd’hui de s’alarmer.
La mairie de Villefontaine a annoncé vouloir se constituer partie civile.
« Nous considérons qu’une faute apparente a été commise dans le processus de nomination. Comment cet homme, condamné pour détention d’images pédopornographiques en 2008, a-t-il pu devenir directeur d’une école sept ans plus tard ? Nous allons nous constituer partie civile dans cette affaire, à l’encontre de l’auteur des faits, mais aussi de l’Éducation nationale si c’est juridiquement possible »,
a déclaré Raymond Feyssaguet, invitant tous les parents d’élèves – qui se sont réunis spontanément et examinent également les recours possibles – à le rejoindre. La mairie devrait prendre en charge les frais judiciaires.
Le gouvernement, tout en faisant tout pour protéger le pédocriminel – notamment en effaçant les données le concernant sur le site de l’académie –, comme il l’a fait depuis 2008 dans ce cas et depuis des dizaines d’années pour d’innombrables affaires similaires, a osé prétendre qu’il n’était « pas acceptable » que le pédocriminel « ait pu continuer à enseigner ». Il n’a pourtant annoncé aucune mesure pour mettre fin à ces récidives.
« L’enquête qui va s’engager devra nous permettre de savoir comment cela a pu arriver et il faudra en tirer des conclusions »,
a seulement ajouté Stéphane Le Foll. Sa collègue marocaine a fait préciser dans un communiqué :
« Afin de faire toute la lumière sur cette affaire et sans préjudice de l’enquête judiciaire placée sous l’autorité du Parquet [la Marocaine] immédiatement diligenté une enquête administrative confiée à l’inspection générale de l’administration de l’Éducation nationale et de la Recherche ».
Ni responsable, ni coupable : leur république continuera à broyer les innocents
Les juges prétendent qu’ils n’ont décelé aucune dangerosité chez le pédocriminel en 2008. Ni le juge qui a condamné Romain Farina, ni le juge des libertés n’ont estimé nécessaire pour le premier de lui infliger et une peine dissuasive, et un véritable suivi judiciaro-policier et de véritables soins – à défaut de méthodes plus radicales et efficaces – médicaux et psychiatriques. Pour les juges rouges et les politiciens du système – ce sont eux qui votent les lois laxistes et libérales, le principe de précaution n’est bon que lorsqu’il permet de taxer les citoyens ou éliminer les dissidents du champ politique.
L’administration se dédouane tout autant : enseignant depuis 2001, l’académie prétend que les contrôles ne sont systématiques que pour les personnes qui rentrent dans l’Éducation nationale, et pas ceux qui sont condamnés alors qu’ils sont déjà fonctionnaires.
Une fois encore, dans leur république, il n’y a aucun responsable, aucun coupable, seulement des victimes innocentes abandonnées par le système, des enfants détruits par un monstre qui aurait dû être mis hors d’état de nuire il y a déjà sept ans. Comment pourrait-il en être autrement quand un pédocriminel avéré comme l’extrémiste juif Daniel Cohn-Bendit reçoit les honneurs de l’université française (sic) ? Quand des torchons comme Libération ou Charlie hebdo ont fait de la légalisation du viol d’enfant un combat sans jamais subir la corde et le gibet ?
Votre encadré avec des balles stipulant la peine de mort contre les pédophiles est inadmissible. Même si les violeurs d’enfants commettent des actes abominables, on ne peut encourager ce genre de haine contre eux, surtout si on les considère « malades » comme l’affirme l’article sur Romain Farina.
La société a le droit et même le devoir de se débarrasser de ce type d’individu qui se sont eux-même placés en-dehors du genre humain par leurs actes.