OLICARE, ‘cabinet spécialisé en stratégies d’influence circulaire’ [sic], nous présente la conférence du jour, placée, à l’Université Dauphine de Paris, sous l’égide de l’euro-mondialiste ‘Maison de l’Europe de Paris’ :
« Henri Isaac, président [sic] de Renaissance [sic] numérique nous parle de la santé à l’heure de la transformation numérique »…
Du bavardage, mais moins de santé… pour les Français
… Comme si les préparations médicinales allaient en être améliorées !
N’empêche ! Le Cabinet OLICARE relaie ce non-événement financé sur fonds publics et où l’on remue rien pour tenter de donner l’illusion qu’on en ferait quelque chose… de positif.
En réalité, après la grève des médecins fin 2014, puis leur manifestation au début de 2015 contre les mesures gouvernementales, et alors que nombre d’entre eux ont suspendu leurs relations… numériques avec l’Assurance maladie, on peut voir ici un outil de pression des coteries pour faire infléchir la société vers une régression perpétuelle de leur système de santé, au profit des financiers, des marchands de vent ‘universitaires’ et des envahisseurs dits ‘migrants’.
Ces derniers n’ont d’ailleurs aucune relation numérique avec les pharmacies ou médecins. Pourtant, ils ont accès à tous les soins gratuitement, contrairement aux Français, nous qui finançons leur Système par les cotisations qui sont prélevées arbitrairement sur nos salaires et même partiellement réintégrées dans nos revenus imposables pour nous en confisquer encore plus !
La spoliation des Vieux et de leurs familles, en attendant leur euthanasie ?
L’autre pendant de leur « pharmacie 3.0 » est l’absorption du métier de pharmacien par les mafias de l’Internet et les hypermarchés, transformant les professionnels de santé en apprentis non formés et sous-smicards – comme ça se passe déjà dans tous les métiers de l’alimentation – et poussant vers les ‘maisons médicalisées’ – au coût moyen de 35 000 euros par an en 2014 – les retraités des centres-villes vidés de leurs pharmacies.
« Les résidents et leur famille font donc face à des coûts insoutenables »,
a constaté Joëlle Le Gall, présidente de la Fédération nationale des associations de personnes âgées et de leurs familles (FNAPAEF), évidemment pas invitée à la conférence du jour.
Derrière leur ‘sociétal’, toujours les mêmes groupes de l’anti-France
Renaissance [sic] numérique est un ‘think tank’ [laboratoire d’idées cosmopolites, NDJN] de leur République universaliste puisqu’on y revendique :
« Tous citoyens d’une société numérique ».
Par « Renaissance numérique », on peut entendre que la société traditionnelle a été mise à bas par leur Révolution étrangère [Necker, Marat et compagnie] et qu’ils souhaitent la remplacer par leur ‘village mondial’ numérisé.
Précisons donc à l’attention de ceux qui souhaitent nous déposséder de tout, y compris de notre propre identité, que la seule renaissance possible de notre nation est celle qui en respectera la naissance, tout le contraire de leur démarche pour accélérer leur mise à mort de la France.