François Hollande ne fête ni Noël, ni l’Assomption, ni les solstices d’été et d’hiver mais il ne manque ni un aïd, ni une fête juive. Plus encore, la prétendue “Shoah” reste sa grande passion. Il y a d’ailleurs consacré cette fin de semaine, pour la 14e fois depuis le début de l’année, à cela.
C’est à Izieu qu’il s’est rendu lundi, sur les lieux d’une zone où auraient été arrêtés quelques étrangers il y a plusieurs dizaines d’années ; ils auraient été ensuite convoyés vers des camps de travail ou de transit dans l’est de l’Europe.
« Nous sommes une fois encore réunis dans un lieu de drame , cette maison qui fut hier le théâtre d’une tragédie abominable »
a-t-il difficilement énoncé, rappelant que désormais sa stratégie en communication n’existe plus que par l’instrumentalisation de « drames », réels ou imaginaires : avion écrasé dans les Alpes, attentats terroristes islamistes, etc.
Alors que l’actualité montre chaque jour que c’est le multiculturalisme, le mondialisme et la destruction des barrières qui sont à l’origine des pires crimes, il a affirmé :
« Le repli et l’isolement qui sont toujours des poisons mortels pour une nation ».