Entre 250 et 300 tombes ont été vandalisées et profanées au cimetière Saint-Roch de Castres (sud-ouest). Le maire de la ville, Pascal Bugis, a très clairement précisé qu’il s’agissait d’un acte antichrétien.
« [Ces profanations] sont intolérables par leur ampleur, mais aussi parce que le ou les casseurs s’en sont pris aux symboles de la religion chrétienne »,
a-t-il précisé.
Les médiats au contraire ont immédiatement non seulement minimisé les faits : « seules » (sic) quelques dizaines de tombes seraient concernées selon France (sic) info qui commence également a nié le caractère antichrétien de la profanation. Or, aucune tombe du carré réservé aux étrangers israélites du cimetière n’a été touchée.
Malgré l’ampleur des faits à Castres, au moins aussi importante qu’un incident commis dans un cimetière juif abandonné en Alsace, aucun moyen exceptionnel n’a été mis en place, aucun journal n’a fait la une de ses éditions de cette profanation, et aucun homme politique n’est intervenu pour condamner cet acte.
En Alsace, pour les étrangers juifs, le président de leur République était immédiatement intervenu, comme Manuel Valls, de nombreux ministres, les autorités religieuses chrétiennes, musulmanes, etc. ; plusieurs centaines de policiers, gendarmes, magistrats, avaient été mobilisés sur cette « affaire » qui n’avait pourtant rien d’antisémite, étant même le fait d’un groupe dirigé par un antifasciste dépressif.
Seul Bernard Cazeneuve a été contraint de réagir puisqu’il se trouvait à quelques kilomètres de là pour assister à l’enterrement d’un policier assassiné quelques jours plus tôt dans l’Aveyron. Il n’est pas certain qu’il se rendra sur place : il doit inaugurer une nouvelle opération de manipulation à propos de leur prétendue « Shoah » ce soir à Paris à 19 h 00.