Le 5 janvier 1895, le capitaine Alfred Dreyfus est solennellement dégradé dans la cour de l’École Militaire, à Paris. Il a été condamné au bagne à vie pour haute trahison. Mais le 19 septembre 1899 il bénéficie d’une grâce présidentielle d’Émile Loubet.
Contrairement à un mensonge historique bien ancré, Alfred Dreyfus n’a jamais, et pour cause, été reconnu innocent par un Tribunal ou une Cour.
Après la cassation, pour des motifs de forme et en raison de l’existence suspectée d’un faux dans le dossier d’accusation de la décision judiciaire qui l’avait condamné, il a bénéficié d’une grâce présidentielle puis à été réintégré dans ses droits et fonctions.
le pen la pro sioniste,adoratrice des youpins,non merci,une sarko,en jupe, et le sieu menard attablé à la terrasse d’un café,avec con bandit,et n’est pas belle la vie,ils sont infiltres partout c’est ordures de sous race!!!