Sans établir précisément le lien avec les politiques migratoires néfastes ni les politiques pénales laxistes, on a, en moyenne, 83 chances sur 100 d’être agressé chaque année à Brighton, ville du Sud de l’Angleterre, soit seulement 17 % de chances d’échapper à la délinquance et à la criminalité qui gangrènent de plus en plus les pays européens.
Avis aux jeunes Français qui voudraient aller étudier à Brighton ainsi qu’aux vacanciers attirés par cette cité dont la bonne réputation est désormais gâchée !
Port d’arme : les étudiants d’Amérique commencent à comprendre
Dans l’Université catholique américaine de Washington, des étudiants ont voté en faveur du port d’armes sur le campus. À contre-courant de l’inversion accusatoire habituelle, ces jeunes gens veulent pouvoir se protéger contre les malfrats et bandes armées qui sèment régulièrement la terreur dans des universités et des écoles américaines.
S’y opposent notamment, les racaillocrates qui ne veulent bien voir armés que les voyous. De même, les partisans de l’ivrognerie étudiante plaident qu’une fois alcoolisé, ça peut être dangereux de porter une arme.
Quoique votée, la mesure ne sera donc probablement pas appliquée, laissant aux criminels et autres dépressifs, en état d’ébriété ou pas, la possibilité de tirer sur des jeunes gens désarmés.
La prétendue innovation consistant à manger des insectes est… récompensée
Le « Grand Prix Moovjee – Innovons Ensemble 2015 » (sic) a été attribué à la « start-up » [en français, jeune entreprise innovante, NDJN] dénommée Jimini’s, pour avoir repris une idée d’une
émission de télé-poubelle, dite « réalité » : consommer des insectes.
Concernant le choix du projet ainsi mis en avant, Amine Chelly, de l’« EDC Paris Business School », nous ôte d’un doute (?) :
« Je pense que ce que le jury a apprécié, c’est l’audace de Jimini’s : manger des insectes n’est pas du tout ancré dans la culture française ! »
Évidemment…
Fabrique de débiles : l’ENS veut la première place
Leur très hollandiste* « École normale [sic] supérieure » (ENS) a proposé à ses candidats un sujet original de prétendue philosophie qui tenait en un mot : « Expliquer ».
Selon une étudiante de cet ENS, qui a planché sur ce type d’épreuve il y a trois ans :
« Ces sujets très [1] courts et très [2] transversaux laissent les élèves très [3] libres et permettent notamment de solliciter plus d’auteurs. »
Répéter les âneries des prétendus « philosophes » [ceux qui aiment la sagesse, de « philo », qui aime, et « Sophia », la sagesse représentée par la déesse grecque du même nom, NDJN] adulés par leur République ? Non, merci !
Sciences Po : feu l’autre détraqué Richard Descoings, modèle de leur République
Pour la parution d’un livre à propos de feu Richard Descoings, Le Figaro y va de son ésotérisme à tendance sataniste :
« Depuis la sortie de Richie [surnom du suicidé Richard Descoings] en librairie, le 15 avril dernier, l’âme de l’ancien directeur fait à nouveau vibrer les murs du célèbre 27, rue Saint-Guillaume. »
Leur même médiat relaie les propos de Bernard Kouchner. Rappelons que ce dernier est habitué à attaquer les pays libres en s’arrogeant un « droit d’ingérence » terroriste pour porter leur démocratie à coup de bombes sur les populations civiles. Cependant, cet « humaniste » n’hésite jamais à prendre la défense des dépravés sexuels sur fond de drogues, tels que son coreligionnaire issu du ghetto communautariste de Cracovie, Roman Polanski. Aujourd’hui donc, Bernard Kouchner plaide, sans grande surprise, pour qu’on pense aussi du bien, probablement une pensée unique dans « l’esprit du 11 janvier », de
« Richard Descoings, l’homme qui a changé Sciences Po [de chambre ?], à l’heure où sont publiées à son propos des lignes qui ne sont pas toujours à la hauteur de ce qu’il fût ».
Ce livre qui ose aborder la question des drogues et de la bestialité dans la vie de l’ancien directeur de leur Institut d’études politiques de Paris serait-il donc encore en dessous de la réalité ?
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*« Je serai un président normal » s’était engagé leur occupant élyséen François [sic] Hollande, avant d’être élu, mais déjà bien conscient d’être perclus d’encore plus de tares que certains de ses prédécesseurs, alors que cet homme politique n’a jamais vraiment intéressé, outre quelques courtisanes pas gênées d’alimenter sa polygamie, que chansonniers et humoristes à qui il rend leur travail facile puisqu’ils n’ont qu’à le répéter et l’imiter [dans la limite de l’humainement possible] pour remplir leur fonction d’amuseurs publics.