Une plaque évoquant un incident survenu en 2006 en région parisienne aurait été fêlée ou brisée selon des sources étrangères juives à Bagneux. Le fait, d’une insignifiance totale, a fait la une de l’actualité hier : il est vrai que la victime n’est pas l’un des nombreux Français touchés par l’invasion, mais exceptionnellement un ressortissant du peuple élu. Le laquais d’Israël Manuel Valls, en plein dimanche, a même pris la peine d’écrire un message sur les réseaux sociaux.
« Vandaliser la plaque en mémoire d’Ilan Halimi, c’est abject. C’est vouloir le tuer une seconde fois [sic] »,
a écrit l’étranger.
Vandaliser la plaque en mémoire d’Ilan Halimi, c’est abject. C’est vouloir le tuer une seconde fois.
— Manuel Valls (@manuelvalls) 3 Mai 2015
C’est le même qui s’était tu après le viol raciste d’une Blanche par plusieurs criminels étrangers à Évry, la ville qu’il dirigeait en tant que maire au moment de sa nomination comme premier ministre de leur République.