Christiane Taubira prenait du bon temps à Cannes ces derniers jours pendant que François Hollande passe de longues vacances dans les îles. S’il est encore permis de critiquer celui-là, il est formellement interdit de le faire pour celle-ci : remettre en cause sa politique antifrançaise, ses réformes destructrices, ses attaques contre la justice, contre la famille, les gaspillages ne saurait être que du racisme.
Il serait donc malvenu de lui demander comment un individu mis en cause dans 70 affaires peut être libre sur le territoire français. Comment un criminel qui, depuis ses 16 ans, a cumulé pas moins de cinq condamnations en moyenne par an peut continuer à gâcher la vie des Français, jusqu’à commettre le plus ignoble ? Comment un individu condamné pour des violences, des vols et même pour s’être introduit dans des vestiaires de femmes, constituant une menace claire et avérée pour la société, peut-il être libre ?
C’est ce que leur République rend possible. Vendredi dernier, vers 5 heures du matin, une étudiante a été agressée dans le hall de son immeuble, dans le 2e arrondissement de Lyon. Son agresseur l’a suivi dans la rue avant de pénétrer dans l’habitation et de la violer. Sous la menace d’une arme, il a forcé la jeune fille à des actes sexuels. Pour la contraindre au silence, en plus de la menace d’un égorgement, il l’a filmée, affirmant qu’il diffuserait la vidéo si elle parlait.
Malgré les gants qu’il portait, les services de la police ont réussi à retrouver l’ADN de ce criminel, qui habite la ville de Tassin. Il était sorti de prison en janvier dernier. Les policiers ont découvert chez lui l’arme utilisée pour commettre son forfait ; il a avoué les faits.