Évoquant la mort des deux délinquants étrangers présumés « Zyned et Bouna » et les émeutes raciales qui ont suivi, un pseudo « journaliste » d’Europe 1 a menti honteusement en tentant de cacher le caractère raciste antiblanc du massacre de Jean-Claude Irvoas.
« Il s’agit d’un salarié de l’éclairage urbain, décédé en octobre 2005 après une altercation avec trois personnes à Épinay-sur-Seine. Un drame que l’extrême droite avait alors tenté de récupérer pour crier au racisme antiblanc, “alors que trois des quatre individus concernés sont d’origine européenne”, écrivait en 2010 Le Figaro. FdeSouche, site internet d’extrême droite, a par ailleurs publié un *article* similaire au tweet de la députée frontiste, ce 18 mai, intitulé “N’oubliez pas Jean-Jacques Le Chénadec et Jean-Claude Irvoas, les vraies victimes des émeutes de 2005” »,
écrit le faussaire Étienne Baldit, “journaliste” du Lab d’Europe 1.
En réalité, Jean-Claude Irvoas a bien été assassiné par quatre de ces criminels étrangers que Nicolas Sárközy et ses complices avaient laissé agir durant plusieurs semaines, incendiant, pillant, tuant à travers la France.
Les quatre tueurs n’avaient rien de Français ni d’Européens, comme même la presse du système l’avait précisé : ils s’appellent Benoît Kusonika, Samba Diallo, Icheme Brighet et Sébastien Béliny.