À Paris, avec le soutien financier de la mairie, l’association Modulable urbain réactif (MUR) a fait réaliser une “fresque” raciste sur les murs de Paris, dans une région particulièrement marquée par les crimes racistes antiblancs commis par les innombrables occupants. L’affaire intervient tout particulièrement un an après le viol barbare d’une Française par un gang de criminels étrangers. Les informations sur ce crime, qui s’était déroulé dans la ville d’Évry, alors dirigée par Manuel Valls, avaient été censurées par la quasi-totalité des médiats du système. L’ignoble message porté par cette “fresque”, réalisée sur un mur à l’angle de la rue Saint-Maur et de la rue Oberkampf, rappelle encore le martyre d’Anne-Lorraine, de Marion, et de tant d’autres.
L’association MUR, chargée de diffuser le non-art contemporain (NAC) dans les rues de nos villes de façon extrêmement politisée en portant toujours des messages antisociaux, est très abondamment financée par l’argent du contribuable – donc essentiellement par les Blancs. La mairie de Paris lui a attribué, depuis 2010, 17 000 euros par an, soit 85 000 en seulement cinq ans.
Une plainte a été déposée par l’Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne (AGRIF).
« C’est là évidemment une revendication provocatrice de prédation sexuelle doublement raciste, d’abord à l’égard des femmes françaises ravalées au rang de butin et à l’égard des Français en général. “Les Françaises aux Africains” ! C’est tout simplement un cri de domination barbare et d’appel au viol »,
précise l’association.