« S’il faut les dissoudre, nous le ferons ! »
Manuel Valls a usé de son ton pathético-comique martial hier à l’Assemblée « nationale » en réponse à une question de l’extrémiste juif Roger-Gérard Schwartzenberg sur les mosquées et associations salafistes qui pullulent à travers la France.
Manuel Valls s’est déclaré prêt, « s’il le faut » à fermer les pires lieux de culte islamistes où sont formés les terroristes et à dissoudre des associations, sans prendre le moindre engagement réel, sans annoncer la moindre mesure concrète.
Outre qu’à l’heure d’internet ces fermetures ne régleraient rien, outre que ces mesures sont bien tardives, il faut rappeler que le même Manuel Valls a dissous durant l’été 2013 deux mouvements nationalistes, l’Œuvre française et les Jeunesses nationalistes (JN) sans se poser de question et sans se demander « s’il le faut ».
Aucun des membres d’aucun de ces deux groupements n’avait commis le moindre crime ou délit – excepté des « crimes de la pensée ». Les militants n’avaient commis aucun attentat ni assassiné aucun innocent dans les rues. Manuel Valls n’avait pourtant pas hésité à dissoudre, sans attendre d’être harcelé en ce sens par l’un de ses députés.
Ce n’était pas la sécurité des Français qui était en jeu alors ; il fallait obéir aux ordres du Congrès juif mondial qui a obtenu depuis plusieurs mois soit la reddition des mouvements nationalistes ou patriotes en Europe (France, Hongrie, etc.), soit leur destruction – au moins officielle.
Les islamistes, pour ces seuls six derniers mois, sont responsables eux directement de la mort d’une trentaine de personnes en France. Combien faudra-t-il encore de victimes pour « qu’il le faille » ?