Ce n’est qu’hier que l’information a enfin été reprise dans les médiats. Elle est symptomatique des pratiques de l’occupant. Le 25 juillet dernier, deux colonies d’étrangers – des racailles juives et leurs homologues arabes – s’affrontent en région parisienne. L’intervention de la police permet l’arrestation de deux d’entre elles.
Les deux israélites sont emmenés en garde à vue en attendant que la justice suive son cours, en l’occurrence une libération rapide de la part d’un magistrat antifrançais et l’abandon des poursuites, sinon un procès dans de longs mois qui s’achèvera par une peine, au mieux, de deux mois de prison avec sursis.
C’était sans compter sur la racaille Meyer Habib qui, depuis qu’il agressait des Français dans les rues, a beaucoup progressé à l’avant-garde de leur République, mais n’a rien oublié de son passé de délinquant protégé par le système. Cet Israélien à papiers français, devenu député, averti par des proches, a appelé le commissariat du 19e arrondissement pour obtenir la libération des deux délinquants.
Les policiers en charge de l’enquête n’ont, théoriquement, de comptes à rendre qu’au magistrat instructeur. Mais le très sûr de lui-même et dominateur député de l’Union des démocrates et indépendants (UDI), le parti démocrate-chrétien (sic) de Jean-Christophe Lagarde, peu avant minuit, appelle les policiers. Il exige d’abord des renseignements auprès d’un officier de police judiciaire (OPJ). Ce dernier croît à un canular, ne pouvant imaginer qu’un député français – ce n’est du reste pas le cas – puisse intervenir pour faire jouer de son influence après une « simple » bagarre de rue entre étrangers.
Meyer Habib « se montrait véhément. Il arguait que ses fonctions l’autorisaient à avoir instantanément accès au dossier de deux individus de confession israélite », précise le policier. La tension est montée à tel point que le policier a déposé une main courante pour dénoncer les agissements de l’occupant.
« Il finissait par chercher à obtenir ma clémence en vue d’obtenir une levée de garde à vue immédiate des deux protagonistes car arguant selon lui qu’ils bénéficiaient de garanties de représentation et qu’ils ne pouvaient faire l’objet d’une telle mesure en cette période de jeûne de Tisha Beav»,
précise encore le policier, rappelant, si besoin en était, avec quelle insupportable arrogance se comporte l’étranger chez nous.
Les faits sont confirmés par une autre source qui évoque des « pressions indirectes ce soir-là », sans préciser s’il s’agit d’interventions politiques d’individus encore plus haut placés. Un autre étranger, ancien commandant de police, est également intervenu peu après, se prévalant de la « lutte contre les discriminations antisémites » (sic).
« De quoi se mêlent-ils ? Ces façons de faire sont insupportables d’autant que tous savent que seul le magistrat doit être informé »,
dénonce un policier, se lamentant devant le drame du multiculturalisme :
« [C’est] l’illustration des tensions qui peuvent exister dans un commissariat quand il s’agit de différends entre communautés »,
conclut-il. À ceci près qu’aucun député français n’intervient quand les Blancs – principales sinon uniques victimes de l’invasion – sont touchés.
Meyer Habib, rappelons-le, est député des Français (sic !) de l’étranger. Son intervention pourrait paraître anatopique. L’affaire se déroulant à Neuilly-sur-Seine, ville où, malgré son nom, coule le Jourdain, mettant en scène juifistes et islamistes, l’ancienne petite frappe du Bétar était peut-être à sa juste place en France occupée.