Tous les médiats du système et l’extrême gauche – c’est à peu près la même chose – l’affirmaient : il n’y avait pas « d’affaire de Tarnac », tout cela n’était qu’un coup monté, une manipulation. François Hollande lui-même était intervenu dans cette affaire pour en dire tout ce qu’il ne savait pas :
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=X2WPB3DI1wY[/youtube]Julien Coupat et sa compagne Lévy, auteur pourtant de textes appelant au terrorisme, ne pouvaient qu’être innocents, puisque d’extrême gauche. Tous les deux, ainsi que six de leurs complices, viennent d’être renvoyés devant le tribunal correctionnel pour avoir saboté des lignes TGV, sous la seule inculpation d’association de malfaiteurs.
Car si la justice de Christiane Taubira a été obligée de reconnaître les faits, elle reste totalement aux mains de l’anti-France : malgré l’évidence des faits, la qualification de terrorisme a été abandonnée, comme si les attaques commises par le groupuscule d’extrême gauche contre des biens publics et au risque de morts civiles étaient spontanées et sans la moindre motivation.
Le parquet avait pourtant demandé que soit retenue la circonstance aggravante et sans laquelle ce dossier n’a aucun sens d’entreprise terroriste pour les trois principaux extrémistes.
Il n’est pas utile de rappeler à l’inverse la folie des accusations portées contre les nationalistes par les médiats du système et sa justice – « “Il y a un risque potentiel de dérive terroriste au sein de l’extrême droite” » titrait encore Les Inrocks il y a peu. Les mêmes oublieront certainement de parler de Lévy, Coupat et de la bande de Tarnac, comme ils ont « oublié » de parler de Damien Camelio – dont le compte Facebook n’est plus accessible depuis la parution de notre article.