Par la faute de politiciens refusant d’instaurer un régime de peines dissuasives, de placer les intérêts des victimes avant ceux des criminels, d’expulser les étrangers – ils forment plus des trois quarts de la population carcérale – ou de construire des prisons, des bagnes et des salles d’exécution, par la faute de juges criminels qui relâchent les pires criminels, plusieurs jeunes femmes ont été agressées ces derniers jours par un criminel multirécidiviste.
Elles lui ont valu un passage dans un commissariat en fin de semaine dernière. Il a été immédiatement relâché.
La dernière – il a agressé une femme dans le métro avant de la harceler au téléphone – lui a valu une nouvelle arrestation. Les policiers écoeurés ont alors décidé de faire connaître l’histoire de ce multirécidiviste, condamné à 29 reprises notamment pour des faits de violences et d’agressions sexuelles, et systématiquement remis en liberté par les agents de Christiane Taubira.
En plus de ces condamnations et en plus des agressions commises ces derniers jours, il est convoqué prochainement devant un tribunal pour un nouveau procès pour violences volontaires aggravées et agressions sexuelles. Les juges antifrançais devraient lui infliger quelques jours de prison avec sursis avant de remettre encore une fois ce dangereux pervers en liberté.
Cette tragique information illustre une fois encore la corruption totale de leur République dont il n’y a rien, ni dans les fondements, ni dans les principes, ni dans l’histoire, ni dans l’organisation, rien à sauver. Si elle l’a été un jour, elle n’est plus réformable depuis longtemps et seule son élimination permettra à la France de retrouver la voie d’une saine et véritable Justice – et rendra aux Françaises la possibilité de parcourir les rues de nos villes sans craindre qu’un criminel multirécidiviste protégé par le Syndicat de la magistrature et la ministre de la Justice (sic) ne les agresse.
D’accord avec Jean, l’ideologie des juges aux ordres est répugnante.