Quatre des plus grandes entreprises ‘françaises’, Air Liquide, Michelin, Sodexo et Total, ont annoncé, en lien avec l’État, le lancement d’un plan pour aider à l’invasion de la France et à la mise en place des mesures de préférences étrangères strictement réservées aux étrangers ‘migrants’. Avec l’aide du gouvernement et de diverses associations pro-invasion, les entreprises mettront non seulement des locaux à disposition, feront des dons de produits, de nourriture, aideront à l’accès aux soins – rappelons que de toute façon les demandeurs d’asile bénéficient d’un accès aux soins totalement gratuit –, mais encore d’accompagnement professionnel, de formation et d’apprentissage. Il s’agit bien évidemment, à terme, de les embaucher, après que les grandes entreprises auront bénéficié durant un temps d’une main d’ œuvre bon marché en stage et formation.
Si les médiats tentent de faire croire qu’il s’agit d’accueillir des « réfugiés », le grand patronat ne se cache pas de simplement favoriser l’invasion, d’où qu’elle vienne, évoquant « les populations en détresse issues notamment d’Afrique et du Moyen-Orient ». Les six millions de Français au chômage, les dizaines de milliers de Français qui vivent dans la rue ne connaissent pas, évidemment, la détresse. C’est d’ailleurs ce qui explique que jamais ces grandes entreprises n’ont fait le moindre geste, ni pour les réfugiés français durant la guerre d’Algérie, ni ouvert le moindre local pour les centaines de milliers de Français pauvres.
Les patrons ne se cachent plus de vouloir faire venir de la main-d’œuvre à bon marché, sans se préoccuper des désastreuses conséquences sociales, identitaires, et sécuritaires d’une invasion de masse. Pour un travailleur bon marché, combien d’asociaux venus profiter des aides, d’individus gravement malades venus profiter du système social, sans compter les islamistes cachés parmi les prétendus ‘réfugiés’ et prêts, après le Maghreb, le Proche-Orient, le Sahel, à déstabiliser l’Europe ?
« “On a voulu lancer le mouvement. L’idée, c’est qu’au-delà de nous quatre, d’autres se mobilisent”, a déclaré Patrick Pouyanné, directeur général de Total, à des journalistes. Les patrons allemands, très demandeurs de main-d’œuvre étrangère, souhaitent un assouplissement des dispositifs en vigueur pour faciliter l’intégration et l’embauche des milliers de réfugiés qui arrivent dans le pays,
précise la presse. Il n’est pas utile d’insister sur la duplicité de l’extrême gauche qui, au nom des plus “grands principes” (sic), exactement comme le grand patronat au nom du “toujours plus de profit”, favorisent les déracinements, les réseaux criminels de passeur, la baisse des salaires et le chômage pour les salariés européens.
« Ça coûtera de l’argent. On mettra les moyens qu’il faudra »,
a déclaré le patron de Total, ce groupe qui, entre autre, refuse de payer pour les innombrables et désastreuses pollutions dont il est responsable, préférant de très longs procès dans lesquels les associations et les petites collectivités s’épuisent et se ruinent.
Ce n’est pas le cas de Total qui utilise depuis bien longtemps à son avantage des crises humanitaires. Le groupe de financiers apatrides fut l’une des principales sociétés à avoir participé à l’immense réseau de corruption mis en place en marge de l’opération « pétrole contre nourriture ».