San Francisco est une ville très incitative pour la pédérastie, après avoir été à l’avant-garde de la « révolution sexuelle », livrée à la drogue des Mexicains. La mafia asiatique implantée antérieurement et forte d’une communauté très nombreuse – 33 % de la population « locale »1 ! – vend ses services de transport et de distribution aux importateurs du Mexique.
Les drogues régulent la vie du quartier noir entre revendeurs, consommateurs, prostitution et prisons surpeuplées qui laissent les « petits trafiquants » libres. Les consommateurs se voient offrir le loyer par les services publics dans leur démarche de désintoxication, mais pour n’arriver finalement à en sevrer que 12 % de leur consommation de méthamphétamine.
Une sorte de Paris ‘Tel-Aviv sur Seine’ du futur, cette San Francisco ?
[Ceci est inclus dans la vidéo parfois très crue « univers des drogues : San Francisco et ses zombies », qui montre notamment des gens qui se piquent et un homosexuel qui explique qu’ils se prostitue pour se droguer (et réciproquement) [youtube]https://www.youtube.com/watch?v=6hgGGnvjsmc[/youtube]___________________________________
1 Le reste de la population se répartit comme suit : 48 % de Blancs (dont 6 % d’Hispaniques, 9 % de Latinos se répartissant dans les autres groupes raciaux), 6 % d’Africains, 0,5 % d’Amérindiens, 0,5 % d’îliens, 7 % d’autres races et 5 % de métis. Il y avait dans la vie 93 % de Blancs non hispaniques ; ils n’étaient plus en 2010 que 42 %.