Alors que la France croule sous l’invasion, que le chômage bat, mois après mois, tous les records, François Hollande a annoncé une loi… contre le racisme et l’antisémitisme. L’étranger juif Nicolas Sárközy n’est visiblement pas le seul à s’être senti visé par et à avoir violemment attaqué Nadine Morano, coupable d’avoir rappelé que la France était un pays de race blanche.
Il s’agira d’une nouvelle loi, plus exactement, leur République ayant multiplié depuis plusieurs décennies les textes visant à interdire aux Français de s’exprimer, de défendre leur identité, leur histoire, leur honneur, leur race. Ce projet antifrançais sera, sans surprise, porté par l’indépendantiste raciste Christiane Taubira.
« J’ai demandé à la garde des Sceaux de préparer d’ici à la fin de l’année un texte réformant le Code pénal pour faire de toute inspiration raciste ou antisémite une circonstance aggravante pour une infraction, quelle qu’elle soit, quel qu’en soit l’auteur »,
a déclaré l’occupant de l’Élysée en déplacement au camp des Milles. François Hollande ne s’est pas attardé sur le fait que ce camp de concentration fut ouvert par le gouvernement issu de la chambre de Front populaire en 1939 et qu’y furent internés des Autrichiens et des Allemands, dont le seul tort était d’être Autrichiens et Allemands. Il n’a pas rappelé que dès les derniers mois de guerre, la même République jettera des centaines de milliers de Français et d’Allemands dans des camps, utilisant notamment ces derniers pour servir de « démineurs » ou les « incitant » à s’engager dans la Légion étrangère où la plupart moururent rapidement. Ni que leur régime raciste et xénophobe ne traitera guère mieux quelques années plus tard les rares Harkis qu’elle ne laissera pas massacrer par les complices du général De Gaulle en Algérie, non plus d’ailleurs que les Français d’Algérie. Un seul racisme intéresse François Hollande : celui qui permet de culpabiliser l’homme blanc. Et de le museler.
« Ce qui s’est produit ici, c’est le résultat d’une lente dérive, d’un mouvement qui a vu toutes les digues démocratiques sauter les unes après les autres »,
a affirmé celui qui a placé le corrompu Jean-Christophe Cambadélis à la tête du Parti socialiste (PS), celui qui soutient les criminels contre l’humanité séoudiens qui multiplient les massacres au Yémen, qui se tait quand l’État criminel d’Israël multiplie les crimes en Palestine. Ces dérives-là non plus ne l’intéressent pas.
Mentant sur la création du camp des Milles, créé par les députés de gauche, il s’est lancé dans un discours suintant la mythomanie dans le plus pur style éliewieselien, évoquant des « camps d’extermination [sic] nazi [sic] » ou le « rouage de la machine antisémite ».
Pour François Hollande, les dérives sont les pensées librement exprimées par les Français.
« La première digue fut celle des mots. Dans les années 1930, il était devenu acceptable, presque banal, de tenir pour méprisable ou haïssable celui qui était différent. Acceptable qu’à longueur d’articles et de pamphlets, on puisse insulter, rabaisser les [étrangers] Juifs et les étrangers. Tolérable que dans des manifestations on puisse entendre “dehors les métèques”1. C’était les années 1930 »,
a-t-il ajouté.
Le probable futur mis en examen Claude Bartolone s’est « félicité » de ce nouveau coup porté à la liberté d’expression.
« Face à la parole libérée, il faut que la loi soit là pour réaffirmer les principes, nos valeurs : le racisme et l’antisémitisme n’ont pas de place dans le jardin de la République »,
a craché l’extrémiste.
« À partir du moment où on continue à avoir des dérives, à avoir des responsables de la droite républicaine qui connaissent dans les propos une dérive d’extrême droite, il faut que la loi soit là comme un phare pour réinstaller la lumière républicaine »,
a ajouté celui qui n’a pas caché ces dernières semaines qu’il menait une véritable guerre révolutionnaire contre la France et les Français.
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1Il visait ainsi vraisemblablement les mitterrandistes, leur idole, François Mitterrand, ayant participé au début des années 1930 à des manifestations de ce type.