La politique criminelle du gouvernement d’occupation a fait une nouvelle victime en Alsace vendredi. Alors qu’elle promenait ses chiens dans une forêt à Mertzwiller, dans le secteur d’Haguenau, une femme a été agressée et violée sous la menace d’un couteau. Son agresseur lui a infligé plusieurs coups de couteau. L’état de la victime était si préoccupant qu’elle a été transportée en hélicoptère pour être conduite au centre hospitalier universitaire de Strasbourg. La victime est toujours hospitalisée dans un état grave, quatre jours après l’attaque.
Le crime, en soi révoltant, est en réalité une affaire d’État : le violeur est un dangereux criminel, condamné en 2009 à douze ans de prison pour le viol d’une adolescente de quinze ans. Or, malgré son extrême dangerosité, il a bénéficié d’une permission de sortie en août dernier. Il avait bien sûr profité de cette action criminelle d’un juge rouge de Christiane Taubira pour « s’évader ». Il n’a jamais rejoint la prison de Toul. La justice n’a pas précisé s’il avait commis d’autres crimes depuis. De nombreux objets retrouvés dans sa planque ont été retrouvés et sont en cours d’analyse.
Le criminel, âgé de 32 ans, Nicolas Weiss, est un étranger gitan ; il avait opéré selon un mode similaire en 2009, utilisant une arme à feu pour obliger sa victime, une jeune fille de quinze ans, à le suivre pour l’attaquer ignominieusement dans un cimetière.
Hier soir, il a été mis en examen pour tentative de meurtre, concomitante à un autre crime et viol avec arme en récidive. Il ne risque que la réclusion à perpétuité. Le juge criminel qui lui a accordé sa permission de sortie n’a pas été arrêté. Aucune charge n’a été retenue contre lui et il ne risque pas la peine de mort qu’il mériterait de recevoir. Les membres de la famille du criminel, qui l’ont manifestement aidé à se cacher durant sa cavale, dans un camp de gitans de Mertzwiller – d’où il était issu et où il était retourné, mais où les policiers, en plus d’un mois, n’ont pas pensé à le chercher –, n’ont pas arrêtés.