Si les forces de police sont très tolérantes vis-à-vis des Gitans qui ravagent des villages, s’évadent, coupent des autoroutes et vont jusqu’à conduire à la fermeture d’une ligne ferroviaire durant une semaine, elles le sont beaucoup moins quand les cibles de ces derniers ne sont pas les Européens, mais d’autres cibles de la « diversité ».
De très importants moyens ont été déployés lundi contre un camp de ces étrangers, au camp dit de l’Arange. Ce dernier a fait régulièrement la une de l’actualité ces dernières années : centaines de kilos de cuivre volés retrouvés, assassinat, incendie volontaire, trafic de scooters volés, d’or… Lundi, c’est pour arrêter les incendiaires de l’abattoir communautariste musulman Kissi à Courtry que près de 70 membres des forces de l’ordre ont été mobilisés, ainsi qu’un hélicoptère notamment.
Quatre étrangers, âgés de 16 à 30 ans, ont été arrêtés. L’incendie criminel de la « ferme Kissi » aurait suivi le refus par l’occupant des lieux de donner 5 000 euros aux Gitans.
Outre les incendiaires, les policiers et gendarmes ont profité de leur venue pour récupérer 17 armes, dont 15 fusils de chasse ; quatre autres étrangers ont été arrêtés pour outrages et menaces de mort contre les forces de police.
Tous les individus arrêtés sont des multirécidivistes, laissés libres par la justice rouge de Christiane Taubira.
« Nous vivons dans un pays de droit [sic]. Nous devons vivre ensemble [sic]. Ce camp fait partie du paysage courtrysien depuis plus de 40 ans. Certains sont en situations régulières, d’autres pas. Le camp s’est beaucoup étendu. Mais il ne faut pas tout mélanger. Nous venons d’embaucher au sein du personnel communal une jeune femme très bien qui vit dans ce camp »,
s’est cru obligé de déclarer le maire de la Courtry, l’UMP Xavier Vanderbise.